L’attaque contre la superbe démocratie irakienne et l’indéfectibilité US
Il est toujours réjouissant d’analyser la logique de l’inculpabilité US, ou de sa branche opérationnelle, l’indéfectibilité (du mot indéfectible : «Qui ne peut défaillir, être pris en défaut»). On en a eu un magnifique échantillon après l’attaque du Parlement irakien de Bagdad, c’est-à-dire l’attaque de la démocratie irakienne, cette démocratie concentrée dans la Zone Verte où règne effectivement, ou devrait régner le paradis démocratique et américaniste sur cette pauvre terre irakienne déchirée par les divers méchants. Alors, s’inquiète-t-on, c’est que l’offensive de sécurisation de Bagdad ne marche pas ? Rien compris Par contre, Olivier Knox, de l’AFP, commence à comprendre, qui écrit le 12 avril… L’attaque contre la superbe démocratie irakienne et l’indéfectibilité US