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Verdun, ou La java du Diable

Verdun, ou La java du Diable J’ai, comme cela, des instincts enfouis qui me protègent, qui me privent de mes sens, de la force de l’attention, qui me poussent à repousser la chose ; le spectacle, l’image que je ne veux pas voir parce que je la connais trop bien et n’ai nul besoin d’être instruit là-dessus au risque d’une souffrance inutile ; cela va du complètement accessoire sinon presque ridicule (je ne peux supporter de voir une piqure même si je supporte assez bien qu’on m’en fasse, d’où mon regard lointain lors d’une prise de sang) à quelque chose, à l’inverse, de beaucoup plus… Verdun, ou La java du Diable

Le crépuscule de l’ombre

Le crépuscule de l’ombre 24 mars 2018 – Le fondement de la brève mais essentielle interrogation qui sous-tend cette courte réflexion est que, voyez-vous, je pense et crois de toutes les fibres de mon être qu’Emil Cioran n’a pas tort, et même qu’il décrit une vision fondamentale et fondamentalement véridique lorsqu’il écrit les quelques lignes qui suivent. (Il faut savoir qu’elles sont extraites de son Précis de décomposition publié en 1949, – son premier livre écrit en français ; cité ici à partir du volume de La Pléiade, « Cioran, Œuvres », p. 61.) « Nous sommes en droit d’imaginer un temps où nous aurons… Le crépuscule de l’ombre

Nous avons le coupable mais pas le crime…

Le plus hors de l’ordinaire dans cette affaire si médiocre est que toute la très sérieuse presseSystème des USA continue à la décrire dans toute sa dimension de simulacre, suivie par sa consœur européenne et notamment parisienne, que tous les experts et journaleux continuent à en débattre comme si la chose existait. Cela pourrait, cela devrait être en effet un mensonge extrêmement médiocre, un coup bas assez quelconque, assez ordinaire si l’on veut, dont on ne se souviendrait même plus. Ce qui l’est moins, ordinaire, c’est l’entêtement fantastique avec lequel le Système, – on ne peut trouver d’autre mot pour désigner le diabolus ex machina… Nous avons le coupable mais pas le crime…