Verdun, ou La java du Diable
Verdun, ou La java du Diable J’ai, comme cela, des instincts enfouis qui me protègent, qui me privent de mes sens, de la force de l’attention, qui me poussent à repousser la chose ; le spectacle, l’image que je ne veux pas voir parce que je la connais trop bien et n’ai nul besoin d’être instruit là-dessus au risque d’une souffrance inutile ; cela va du complètement accessoire sinon presque ridicule (je ne peux supporter de voir une piqure même si je supporte assez bien qu’on m’en fasse, d’où mon regard lointain lors d’une prise de sang) à quelque chose, à l’inverse, de beaucoup plus… Verdun, ou La java du Diable