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Horizon sans fin

Horizon sans fin 23 mars 2021 – Madame Ramsay, responsable de la vaccination à Public Health England, l’organisme de santé publique du Royaume-Uni (UK) est de la bande des >sachantsmes petits agneaux chéris, vous en avez pour des années et des annéesdictature sanitaire< et des diverses interdictions et mesures de restriction et de contrainte qui l'accompagnent.) « Les nouveaux cas de Covid-19 au Royaume-Uni ont été divisés par dix depuis début janvier, et plus de 27 million de Britanniques, – plus de la moitié de la population adulte – ont reçu leur première dose de vaccin contre le coronavirus. Par rapport à l'augmentation des cas… Horizon sans fin

« …Sous nos yeux à tous. »

« …Sous nos yeux à tous. » 24 février 2021 – « … Nous sommes en train de devenir un État … totalitaire sous nos yeux à tous »… La phrase paraîtra anodine aux esprits forts, ceux-là qui, inlassablement et chaque jour, nous dévoilent les mystères de ce monde en fusion, les entrelacs des conspirations et des manipulations dont ils connaissent tous les labyrinthes et entrelacs. Je laisse les esprits forts à leurs occupations. Il y a, comme ça, des moments, des instants qui vous paraissent soudain emportés et haussés comme par une sorte de grâce ; nullement parce qu’ils vous enchantent ou vous séduisent… « …Sous nos yeux à tous. »

Le FT et “D.C.-la-folle” à Aspen, Colorado

Le FT et >D.C.-la-folle< à Aspen, Colorado Le rendez-vous annuel du Aspen Institute, au Aspen Security Forum, à Aspen, dans le Colorado, est connu comme le super-Davos de la communauté de sécurité nationale US, avec comme animation diverses tentacules lancées vers les >amis fidèles< hors-USA, avec comme vitrines des initiatives qui suivent la mode des consciences du XXIème siècle et de son environnement. (Le surnom de >Davos de la défense< donné à la conférence de l'ex-Wehrkunde, à Munich, chaque février, concerne un rendez-vous plus bigarré et plus incertain qu'à Aspen ; à Munich, l'on rencontre même des Russes et des Chinois, c'est dire !) A… Le FT et “D.C.-la-folle” à Aspen, Colorado

Vegas : faites votre choix

Vegas : faites votre choix Tous les superlatifs les plus horrifiés conviennent au carnage de Las Vegas, à commencer par l’événement lui-même d'un homme seul, avec au moins dix armes très puissantes, – des fusils d’assaut à tir rapide, sans aucun doute, – tirant des centaines et des centaines de balles sur une foule rassemblées devant l’hôtel d’où il tire. Il s’agissait d’un concert de country music, et la foule rassemblée avait été estimée entre 25.000 et 40.000 personnes. Comme on le voit sur une des vidéos de l’événement largement diffusée, pendant quelques secondes la fusillade à ses débuts n’a pas réussi à couvrir le… Vegas : faites votre choix

Le dollar devient une crise eschatologique

Le dollar devient une crise eschatologique 20 octobre 2009 Un article de John Chan, de WSWS.org, le 19 octobre 2009, reprend la problématique de l’actuelle crise (le mot est-il adéquat?) du dollar, c’est-à-dire les rumeurs, la chute de la devise US, les spéculations à propos de son sort et de son destin. D’une façon significative, Chan commence son article en rappelant l’article de Robert Fisk du 6 octobre 2009 dans The Independent. Nous nous en étions fait l’écho le même 6 octobre 2009; puis en insistant sur l’impact psychologique de ce texte, sur l’étrange effet des démentis qui avaient suivi, dont nous avions nous-mêmes parlé… Le dollar devient une crise eschatologique

Un automne crépusculaire

Un automne crépusculaire 8 octobre 2009 En quelques jours, la perception psychologique de la situation fondamentale des USA s’est à nouveau assombrie, ou, plutôt, s’est enfoncée dans un degré nouveau d’assombrissement en revenant à la crise centrale. L’effet de 9/15 et de l’effondrement qui a suivi a été un instant contenu, le temps d’un rapide printemps aménagé par Ben Bernanke, reconduit à la tête de la Fed pour cet exploit d’illusionniste (l’affaire des green shoots). Le scandale du redressement des banques dans les conditions qu’on sait a suivi. Tout cela n’était pas une amélioration de la situation mais un abaissement de la tension par des… Un automne crépusculaire

Parlez, Sire, parlez (suite avec angoisse fortissimo)

Obama inquiète de plus en plus le système financier global, alors que le temps presse puisque le système a déclaré que le G20 était une étape vitale de la reconquête de sa position perdue. Le billet d’Anatole Kaletsky du 12 mars dans le Times de Londres peut être vu comme une poursuite et une accentuation inquiète, voire singulièrement angoissée, de l’article de Martin Wolf du 3 mars, publié dans le Financial Times et dans Le Monde. Bien entendu, depuis le 3 mars, la situation a évolué, et nullement dans le bon sens. Kaletsky constate une mauvaise volonté évidente, et une inattention coupable, dans le chef… Parlez, Sire, parlez (suite avec angoisse fortissimo)

Trahi par la neige et par BHO, qui préfère les Scouts of America

Certes, il y a le sort de la planète. D’accord, OK, on y pense Mais ceci, tout de même: les services de BHO ont annulé la conférence de presse commune du nouveau président et du souriant PM britannique. Quelle traîtrise. Le PM, Gordon Brown, avait réussi ce coup de maître diplomatique, qui bouleverse tous les quatre ans ou tous les huit ans tous les services de planification du gouvernement de Sa Majesté: être le premier à serrer la cuillère du nouvel ami privilégié de la Maison-Blanche. Brown a certes été grillé par les deux Nord-Américains (le Mexicain et le Canadien), mais c’est pas d’jeu, ils… Trahi par la neige et par BHO, qui préfère les Scouts of America

Parlez, Sire, parlez (et voici ce qu’il faut dire)

La réunion du G20 de Londres du 2 avril commence à faire sentir toute sa pression. Les Britanniques sont au premier rang dans l’agitation qui grandit, d’abord parce qu’ils sont les organisateurs du sommet, ensuite parce qu’ils se pensent comme les inspirateurs du système mondial en grand danger de s’effondrer, en même temps que leur pays est parmi les plus touchés des grands pays par la crise puissante en cours de développement. Il y a un ton de solennité générale dans la presse et les commentaires britanniques en cours. Ce ton accompagne la visite de Gordon Brown à Washington aujourd’hui et demain, qui a le… Parlez, Sire, parlez (et voici ce qu’il faut dire)

Obama, pourquoi pas un coup d’Etat?

Les commentaires et les jugements s’exacerbent, c’est connu, en période de crise. En période de crise systémique générale, à tendance eschatologique, tout cela passe à la vitesse supérieure. C’est le cas de Martin Wolf, le distingué commentateur du Financial Times (FT), dans son commentaire du 10 février au soir. Nous précisons au soir (18H10, il y a exactement un jour), parce que le texte est fait en commentaire de l’annonce du nouveau plan US d’aide massive aux banques, quelque chose comme, quoi? $2.000 milliards? Un peu plus? On verra. Wolf est très sévère pour Obama, parce qu’il juge que la méthode choisie par le jeune… Obama, pourquoi pas un coup d’Etat?

Les limites de la raison la plus rigoureuse face à la crise systémique

Le commentateur Martin Wolf, du Financial Times, est un esprit rigoureux, sans nul doute. Il est très écouté et très influent; il représente une tendance conservatrice sérieuse, il est partisan du libéralisme et du libre-échange mais sans exaltation et capable de reconnaître, d’identifier des événements importants même si ceux-ci vont contre ses engagements et ses convictions idéologiques. Cette fois (le 13 mai), il s’attaque à la question du prix du pétrole et, d’une façon plus générale, la question du pétrole en tant que ressource limitée en déclin accéléré. Wolf ne barguigne pas. Inutile de chercher des explications alambiquées, des faux-fuyants. Pour lui, la crise est… Les limites de la raison la plus rigoureuse face à la crise systémique

Le désarroi élégant de Martin Wolf

Martin Wolf est l’un des plus fins et des plus fameux commentateurs du très prestigieux Financial Times. On a déjà lu l’importance que Wolf accorde à ce 14 mars 2008, jour où la Fed décida de sauver la Bear Stearns de l’effondrement. Dans un très long rapport sur la crise dont la première partie est publié aujourd’hui sur WSWS.org, Nick Beams choisit effectivement cette date pour son introduction… «March 14, 2008the day it became public knowledge that Bear Stearns, the fifth largest investment bank in the US and one of the largest financial institutions in the world, had gone bankrupthas already taken its place as… Le désarroi élégant de Martin Wolf

Ainsi ce jour fut-il le jour de la Fin des Temps

Les commentaires de plus en plus affirmatifs se multiplient désormais, pour nous dire l’Histoire telle que nous l’avons vue se dérouler sous nos yeux. Il s’agit précisément de ce 14 mars 2008, le jour où Bernanke mit la main à la poche pour sauver Bear Stearns et marquer la fin de l’illusion capitaliste et libre-échangiste d’un monde sans régulation, sans interventionnisme, sans chose publique pour empêcher le marché de tourner en rond, seul, sans entrave ni interférence. Ainsi en est-il, d’une façon assez solennelle, du prestigieux commentateur Martin Wolf, du Financial Times, dans cet article du 25 mars, qui écrit effectivement comme un historien entamant… Ainsi ce jour fut-il le jour de la Fin des Temps

L’Histoire sous nos yeux

L’Histoire sous nos yeux 26 mars 2008 — Nous commençons à regarder autour de nous, et à nous regarder nous-mêmes dans les décombres de nos illusions. L’unanimité est en train de se faire sur l’importance historique et symbolique de ce 14 mars 2008, ce jour où, selon Martin Wolf, «the dream of global free-market capitalism died». (Martin Wolf encore, avec ces mots de contrition, dont il faut mesurer le poids, – un commentateur de ce calibre n’écrit pas cela, dans le Financial Times en plus, à la légère: «Once upon a time, I had hoped that securitisation would shift a substantial part of the risk-bearing… L’Histoire sous nos yeux

La crise s’allonge et prendra son temps parce que, voyez-vous, nous sommes globalisés

Au plus le temps passe, au plus la crise financière d’août et ses suites transforment la prévision et le sentiment général. L’humeur ne cesse de s’assombrir. Dans le Financial Times du 11 septembre, Alan Wolf fait un constat impeccable quoique classique : la bourse tient l’économie en otage. Les fous du marché boursier menacent les équilibres économiques et ce sont les petits qui sont touchés. Alors, faut-il aider les fous de la bourse pour éviter aux petits de trinquer? Toute la logique du système est exposée à nu, pour la nième fois, mais cette fois dans un cadre impressionnant d’ampleur. «The financial markets have taken… La crise s’allonge et prendra son temps parce que, voyez-vous, nous sommes globalisés