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Échos de BHO

Échos de BHO 14 décembre 2020 – Disposant sur Netflix récemment d’un documentaire d’une équipe de journalistes de HBO et réalisé par Greg Barker en 2017, je crois bien avoir disposé d’une sérieuse partie de la réponse à la question de la provenance directe de la haine qui dévore l’Amérique. Cette haine se mesure chaque jour, comme lorsque ‘Time‘ , commentant son.a ‘Person of The Year‘ en la.e unique et glorieux.se ‘personne’ de Biden-Harris, dit BH, désigne Trump sous le surnom de ‘Le Minotaure‘. L’on gémit dans ce texte à propos de la calamité que cette Bête monstrueuse a semée, et à la pensée vertueuse… Échos de BHO

Échos de BHO

Échos de BHO 14 décembre 2020 – Disposant sur Netflix récemment d’un documentaire d’une équipe de journalistes de HBO et réalisé par Greg Barker en 2017, je crois bien avoir disposé d’une sérieuse partie de la réponse à la question de la provenance directe de la haine qui dévore l’Amérique. Cette haine se mesure chaque jour, comme lorsque ‘Time‘ , commentant son.a ‘Person of The Year‘ en la.e unique et glorieux.se ‘personne’ de Biden-Harris, dit BH, désigne Trump sous le surnom de ‘Le Minotaure‘. L’on gémit dans ce texte à propos de la calamité que cette Bête monstrueuse a semée, et à la pensée vertueuse… Échos de BHO

Une “incivilité” de gangsters dévoyés

Une >incivilité< de gangsters dévoyés L’une des caractéristiques psychologiques reflétant la crise du pouvoir aux USA, c’est ce qui est désigné comme l’>incivilitécrime organisé< US, comme nous l’avons fait à propos de Trump, est de plus en plus courant et visible. L’essentiel ici n’est pas tant la situation (que cette similitude ait éventuellement déjà existé, comme l’affirment certains avec un cynisme d’esprit fort) que la communication publique qui en est faite, sans le moindre souci des dégâts de statut et de réputation. Martin Sieff, journaliste expérimenté dans la vie politique US, développe une tribune furieuse, dans Strategic-Culture.org du 4 mars 2019 à propos du comportement… Une “incivilité” de gangsters dévoyés

Confusion et bruits de tonnerre, – No, we can’t

L’idée centrale définit plus que jamais l’analyse générale de l’administration Obama devant les événements dans le monde arabe et au Moyen-Orient ; il s’agit de l’idée exprimée par Hillary Clinton du perfect storm, soufflant effectivement sur le monde arabo-musulman mais aussi sur Washington Plus sur Washington que sur le monde arabo-musulman ? Certes, lorsqu’il s’agit de l’Iran, c’est le déchaînement de l’indignation de la secrétaire d’Etat Clinton (RAW Story le 15 février 2011) «Secretary of State Hillary Clinton on Monday accused the Iranian government of hypocrisy, saying it must listen to the wishes of its demonstrators. What we see happening in Iran today is a… Confusion et bruits de tonnerre, – No, we can’t

L’Etat de Droit, ou la dictature de la Loi

L’Etat de Droit, ou la dictature de la Loi Le 21 janvier (voir notre Bloc-Notes du 22 janvier 2010), la Cour Suprême prit une décision contestée en faveur de l’intervention illimitée du corporate power dans le processus politique US. A la lumière de cette décision et des remous qu’elle suscita, il nous paraît très intéressant de signaler cet article de Stephen Lendman, du 26 février 2010, «America’s Supremes: Court Over Constitution». Il s’agit d’un historique détaillé sur la dictature que la Cour Suprême a fait peser sur la vie publique aux USA, et sur «We, the people» par conséquent, depuis sa création en 1787. La… L’Etat de Droit, ou la dictature de la Loi

Bye bye, “American Gorbatchev”

Bye bye, >American Gorbatchevmarionnettes< de ceci ou de cela. Il y a un cas psychologique intéressant et convaincant. Il y a une volonté presque incantatoire, en ramenant les USA aux conceptions clintoniennes (époque de Bill) dans ce cas de l'Afghanistan, de faire remonter le temps aux USA brisés, pour qu'ils retrouvent le temps des USA triomphants de la fin du siècle dernier. Un texte récent de Mehdi Hasan, le 10 décembre 2009, sur son blog du New Statesman, permet d’approcher cette appréciation psychologique. Hasan condamne depuis quelques mois les orientations politiques de BHO, qu’il juge être similaires à celles de Bush. Il met en évidence… Bye bye, “American Gorbatchev”

I do what I can

I do what I can 21 janvier 2009 Le président est en fonction et ceux qui attendaient un immense bouleversement peuvent commencer à se demander ce qui a changé. L’événement a été mondial et le monde entier a applaudi au thème du jour qui était la renaissance tant attendue de l’Amérique, tout cela pour nous permettre de mesurer combien le désarroi des USA est aussi celui du monde. Le President-elect, devenu président, a fait un discours qui était plus du I do what I can que du Yes, we can. Il l’a fait sans atteindre à la grandeur de la tragédie des temps mais avec… I do what I can

Déjà le désamour pointe

Notre époque ne la cédera jamais à aucune autre, sauf celle qui suivra, sans doute, pour la vitesse des choses, des émotions, des sentiments, des grands événements qui bouleversent le monde et qui changent l’Histoire (ou le contraire: qui changent le monde et qui bouleversent l’Histoire), qui enchaînent sur leur vrai contraire trois jours après, ou trois semaines plus tard. Ainsi de Barack Obama, le 44ème président des Etats-Unis et le premier président Africain-Américain, dont l’élection fut accueillie comme l’aube d’un changement extraordinaire. Obama, change, et, pour être sûr de la chose, yes, we can? Les jeux des miroirs du virtualisme machiné par le médiatisme… Déjà le désamour pointe

«We are not winning» mais ça ne saurait tarder

Le président des USA a, dans une interview au Washington Post, apporté des éléments sur la stratégie et la situation en Irak que les commentateurs jugent importants. Le Post fait grand cas, aujourd’hui, de la formule utilisée par GW Bush pour caractériser la situation en Irak : «We’re not winning, we’re not losing» «President Bush acknowledged for the first time yesterday that the United States is not winning the war in Iraq and said he plans to expand the overall size of the stressed U.S. armed forces to meet the challenges of a long-term global struggle against terrorists. »As he searches for a new strategy… «We are not winning» mais ça ne saurait tarder

Définition du complexe militaro-industriel

On trouve sur le site Antiwar.com, en date du 23 mars, un texte d’IPS présentant une interview, par Haider Rizvi, du réalisateur du film documentaire Why We Fight, Eugene Jarecki. Nous en publions ci-dessous un passage question-réponse sur le complexe militaro-industriel (CMI), parce que la réponse de Jarecki nous paraît donner une bonne définition de la place du CMI dans la structure américaniste du pouvoir aux USA. Le CMI y est effectivement présenté comme un groupe d’intérêts (ou de special interests) dans un système de pouvoir qui fonctionne à partir d’une structure effectivement faite de tels groupes. La puissance et l’influence du CMI ne sont… Définition du complexe militaro-industriel

Why We Fight”, — à voir (aujourd’hui encore) pour comprendre mieux

Le titre reprend, d’une façon provocante et ironique, le titre de la fameuse série de films de propagande (par Frank Capra & compagnie) de la Deuxième Guerre mondiale. Le film de Edward Jarecki est documentaire plus que polémique. Il analyse d’une façon extrêmement convaincante et sérieuse la structure politique, industrielle et militaire, le complexe militaro-industriel (CMI), en un (trois) mot(s), qui gouverne l’Amérique. Why We Fight a été primé en 2005 au Sundance Festival, organisé par le centre cinématographique indépendant mis sur pied par l’acteur Robert Redford. Why We Fight est passé hier soir sur Arte. Si vous ne l’avez pas vu et si vous… Why We Fight”, — à voir (aujourd’hui encore) pour comprendre mieux