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Humeurs et fantasmes de guerre

Humeurs et fantasmes de guerre 13 octobre 2017 – Il existe, du côté des USA est-il besoin de le dire, une narrative de guerre impliquant la possibilité, parfois jusqu’à la probabilité dans certains commentaires, d’un affrontement nucléaire total. Cette narrative, qui a été développée plusieurs fois, à laquelle on croit et à laquelle on ne croit pas, successivement et parfois même simultanément, date de mars 2014 d’une façon affirmée sinon affichée ; dès lors que Russes et OTAN (soit les USA) se trouvaient quasiment et potentiellement au contact, par l’intermédiaire de la crise ukrainienne, la possibilité d’une guerre nucléaire prenait un aspect très concret. Cette… Humeurs et fantasmes de guerre

Pour l’Iran, StratCom a pris l’affaire en mains

Poursuivons par un deuxième aspect le commentaire de l’article de Craig Unger, déjà signalé dans la note précédente. Nous citons d’abord ce deuxième extrait qui nous paraît intéressant (tout l’article est de cet intérêt et de cette haute tenue mais il faut bien choisir). Il concerne l’Iran et la possible prochaine attaque contre ce pays et est basé sur des confidences du lieutenant colonel W. Patrick Lang, qui a quitté la Defense Intelligence Agency où il servait comme officier chargé du Moyen-Orient, de l’Asie du Sud et du terrorisme. «Another serious development is the growing role of the U.S. Strategic Command (StratCom), which oversees nuclear… Pour l’Iran, StratCom a pris l’affaire en mains

Les “neocons” qui se bousculent au portillon

Ou bien Vanity Fair a été trop loin et trop vite et les neocons ont été doublés, ou bien les neocons ont été trop loin et trop vite pour retourner leurs vestes. Ou bien tout cela a une odeur de confusion et de manoeuvre hâtive, comme on fait aujourd’hui à Washington. Les neocons ont commencé à sauter du navire qui coule mais ils s’y raccrochent un instant, après avoir vu le visage absolument atterré et furieux de Dick Cheney à Meet the Press, lorsque Stephanopoulos l’a interrogé sur l’article de Vanity Fair. Après la publication de la bombe de Vanity Fair le 3 novembre, les… Les “neocons” qui se bousculent au portillon