Jimmy Goldsmith et le désastre de la civilisation
Jimmy Goldsmith et le désastre de la civilisation « Le destin du spectacle n’est pas de finir en despotisme éclairé » (Guy Debord) 1993 : l’Amérique est en bouillie, le vainqueur de l’Irak vaincu par un apprenti de la Trilatérale, les socialistes de Cresson-Mitterrand sont enfin tambourinés aux élections, et l’Allemagne est mal réunifiée et à moitié ruinée… Debord toujours : « Les nouvelles concernent toujours la condamnation que ce monde semble avoir prononcée contre son existence, les étapes de son autodestruction programmée. » Debord se faisait alors menacer à la télé (Polac, F.O.G.), comme Goldsmith ; aujourd’hui ils sont complètement oubliés puisque tout va… Jimmy Goldsmith et le désastre de la civilisation