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Contre la Grèce, la stratégie de l’hybris

Dans son dernier commentaire sur la crise grecque du 12 juin 2015, sur son site RussEurope, Jacques Sapir évalue les conditions extrêmes qui doivent désormais être détaillées en cas de défaut de la Grèce, alors qu’on est très proche de la décision nécessaire et que les deux parties (UE et Grèce) sont toujours >très loin d’être prochesstratégie< qui n'est rien d'autre que celle de ce sentiment honni par les Grecs (du temps de Platon) comme le pire des péchés, et qui a pour effet un aveuglement constant. «L’Eurogroupe serait-il en train de se faire à l’idée de la possibilité d’un défaut grec ? Des informations,… Contre la Grèce, la stratégie de l’hybris

Orban officialise la crise interne de l’UE

Orban officialise la crise interne de l’UE Revigoré par la visite de Poutine, du moins on peut le supposer, le Premier ministre hongrois Viktor Orban attaque. Sa tête de Turc (inévitable jeu de mots), c’est le président (polonais) de l’UE ; mais Tusk n’est pas vraiment une tête de Turc puisque cette expression est, par extension, l’équivalent de bouc-émissaire. Tusk est tout ce qu’on veut sauf un bouc-émissaire, ce n’est pas une victime expiatoire ni une personne sur laquelle sont rejetées les fautes des autres. Au contraire, il se tient dur et ferme sur sa position antirusse extrême, de provocateur et d’allumeur de brûlots antirusses… Orban officialise la crise interne de l’UE

SYRIZA et l’“hyper-désordre”

SYRIZA et l’hyper-désordre 2 février 2015 il est caractéristique de la confusion, ou du désordre quand il menace de devenir hyper-désordre, que deux textes aussi bien intentionnés l’un que l’autre puissent faire appel au même symbole historique tirée de l’épopée homérique, dans un sens absolument inversé : «New Greek government: Russia’s Trojan horse inside the EU?», le 28 janvier 2015 sur le site BNE.eu et «Is the New Greek Government a Trojan?», de Nebojsa Malic, le 30 janvier 2015 sur Antiwar.com. BNE.eu exprime bien ce qu’il veut dire (cheval de Troie des Russes dans l’UE) ; quant à Malic, il s’en explique dans sa conclusion… SYRIZA et l’“hyper-désordre”