Aller au contenu

Turquie

Erdogan, perdu corps et bien…

Erdogan, perdu corps et bien Le Premier ministre turc Erdogan a semblé s’engager d’une façon radicale dans la crise de Gaza et semblé, dans les un et deux premiers jours, devoir y jouer un rôle important. Cette impression s’est rapidement dissipée, pour être remplacée par celle d’une action d’une importance mineure, notamment au regard du rôle dirigeant de la crise qu’a tenu Morsi. Il s’agit bien entendu d’une question de perception, mais l’on comprend évidemment que cette perception joue un rôle fondamental dans cette époque dominée par la puissance du système de la communication. Au demeurant, la perception, éclairée par divers faits, reflète sans aucun… Erdogan, perdu corps et bien…

Notes d'Iron Dome au Patriot, impair et manque…

Notes d’Iron Dome au Patriot, impair et manque… Nous parlons ici de l’un des débats techniques de la crise/>guerre< de Gaza. Actuellement, et au moins temporairement, la crise/guerre, ou Gaza-II si l'on veut après >Plomb fondu< de décembre 2009, est arrêtée par un cessez-le-feu, qui constitue une issue, dans ce cas, qui est tout ce qu'on veut sauf une victoire pour Israël. A ce point, >Pilier de Défense< est une aventure extraordinairement pitoyable pour la puissance israélienne, à la fois incohérente et complètement contre-productive, un peu à l'image de la psychologie subvertie des trois dirigeants israéliens essentiellement impliqués, le gang Netanyahou-Barak-Lieberman. Bref, tout se passe… Notes d&#39;Iron Dome au Patriot, impair et manque…

Gaza, ou le désordre ajouté au désordre

Gaza, ou le désordre ajouté au désordre Dès les premières quarante-huit heures de l’attaque de Gaza par les Israéliens, des initiatives ont été prises pour tenter d’aboutir à un cessez-le-feu, ou bien pour interférer dans la crise dans un sens précis. D’une façon générale, on a trouvé deux bords, cherchant à négocier ou à faire croire qu’on cherchait à négocier, du bout des lèvres pour certains, voire même sans cacher l’intention de poursuivre l’attaque pour le cas bien connu des Israéliens. Ce qui nous intéresse ici, c’est la répartition des acteurs qui sont intervenus, et de quel côté. Cela ne détermine rien d’assuré pour l’avenir… Gaza, ou le désordre ajouté au désordre

Une attaque dans une époque nouvelle

Une attaque dans une époque nouvelle En un sens, on peut dire que l’attaque israélienne contre le Hamas est une grande nouveauté, malgré les apparences. Certes, elle suit une habitude d’interventions peu préoccupées des lois internationales et autres arrangements qui n’intéressent guère Israël. En cela, bien entendu, rien de nouveau, comme il ne faut rien attendre de nouveau de Netanyahou dans ce domaine. L’attaque a immédiatement été interprétée comme un moyen de renforcer Netanyahou pour ses prochaines élections législatives de janvier 2013. Une autre interprétation manuvrière, qui peut évidemment compléter la précédente sans la contredire une seconde, au contraire, est que Netanyahou entend ainsi torpiller… Une attaque dans une époque nouvelle

Syrie, USA, la guerre et l’humeur furieuse d’Erdogan

Syrie, USA, la guerre et l’humeur furieuse d’Erdogan Il ne manque pas d’hypothèses, de supputations, de descriptions même sur la marche vers la guerre, notamment de la Turquie vers (contre) la Syrie. C’est un sujet récurrent et un thème d’article redondant depuis plusieurs mois, entrecoupés d’incidents de frontière, de saisies d’avions en plein vol, de provocations, de false flag divers et variés, etc. Par ailleurs, la guerre n’arrive pas. Cela invite à classer le projet, en attendant d’hypothétiques prolongements, dans la rubrique du retenez-moi ou je fais un malheur qui semble caractériser la politique agressive et belliciste d’une pathologie psychologique insistante, de la nébuleuse formée… Syrie, USA, la guerre et l’humeur furieuse d’Erdogan

Pour info : Poutine et la Russie sont diablement sérieux

Pour info : Poutine et la Russie sont diablement sérieux Le président russe Poutine a dirigé personnellement, vendredi 19 octobre, un exercice de simulation de guerre nucléaire stratégique, avec des exercices réels, notamment le tir d’un missile intercontinental balistiques terrestre (ICBM), un tir d’un missile nucléaire stratégique lancé de sous-marin (SLBM) et des tirs de missiles air-sol à partir de bombardiers à capacités nucléaires. Ainsi ont été utilisés en exercice réels les trois éléments de la triade nucléaire, les missiles stratégiques terrestres et tirés de sous-marins, et les bombardiers stratégiques à capacité nucléaire (en général des engins guidés à têtes nucléaires, dont des cruise missiles).… Pour info : Poutine et la Russie sont diablement sérieux

Les montagnes russes de la Turquie

Les montagnes russes de la Turquie Les choses ne cessent d’aller toujours plus vite, rendant l’art du commentaire semblable effectivement, lui aussi, à un parcours de montagnes russes. Il s’agit pour ce cas de la perspective d’un changement, voire d’un tournant radical de la politique syrienne et régionale de la Turquie, spécifiquement d’Erdogan ; il s’agit de l’hypothèse très substantivée de la perspective de l’abandon de la tentative d’internationalisation de la crise syrienne, pour une régionalisation de cette crise syrienne. Cela implique un changement radical des acteurs du processus nouveau envisagé, avec la disparition du bloc BAO et de ses extrémistes au profit de l’apparition… Les montagnes russes de la Turquie

L’“encercleur” encerclé

L’encercleur encerclé 19 octobre 2012 Deux éléments significatifs, d’ordre militaire et technologique et en développement dans ces domaines, mais d’ores et déjà effectifs au niveau de la communications et donc d’ores et déjà transformés en équivalents postmodernistes d’évènements effectifs, affectent la situation autour de la crise haute en développement dans sa zone moyenne-orientale. Ces deux évènements liés aux crises syrienne et iranienne, touchent en réalité une zone géographique beaucoup plus large, englobant comme limites extérieurs la Syrie, Israël, la Turquie, la Russie (l’Arménie) et l’Iran, l’Irak éventuellement Il s’agit donc d’un cercle stratégique, désignation symbolique plus que géométrique, à la fois géographique, technologique et de… L’“encercleur” encerclé

L’avion syrien saisi par la Turquie : l’hypothèse de la provocation

L’avion syrien saisi par la Turquie : l’hypothèse de la provocation Le journal arabe de Londres Al-Quds al-Arabi (voir sa description sur Wikipédia) a publié, le 12 octobre 2012 un éditorial de son rédacteur-en-chef Abdel-Beri Atwan, où est présentée et développée une thèse selon laquelle l’affaire de l’avion de Syrian Air intercepté et forcé de se poser sur l’aéroport d’Ankara pour une durée de neuf heures est un montage et une provocation syriennes, dans ce cas remarquablement réussie. (A noter que Al-Quds al-Arabi, journal panarabe indépendant fondé par un Palestinien expatrié et édité à Londres, n’est pas particulièrement favorable à Assad.) Selon Abdel-Beri Atwan, il… L’avion syrien saisi par la Turquie : l’hypothèse de la provocation

La Turquie selon Erdogan, ou la tragédie-bouffe

Que fait la Turquie d’Erdogan ? Qui le sait ? Lui-même, Erdogan, en sait-il quelque chose ? Même l’OTAN commence à s’interroger… Le 13 octobre 2012, le fameux >b< comme il se désigne lui-même, éditeur et commentateur du site The Moon of Alabama, signalait un tweet de ce même 13 octobre 2012 de Jon Wiliams, chef du service étranger de la BBC : >Des alliés de l’OTAN de plus en plus soupçonneux vis-à-vis de la Turquie. Craignent que la Turquie ne cherche à provoquer la Syrie. Un officiel dit que Damas est ‘très raisonnable’ dans ces circonstances !< («Some NATO allies growing suspicious of Turkey.… La Turquie selon Erdogan, ou la tragédie-bouffe

Russie-Irak : armements et accélération de l’Histoire

Russie-Irak : armements et accélération de l’Histoire 12 octobre 2012 Il y a six ou neuf mois, il était de bon ton, dans la presse-Système, de dauber sur les mésaventures de la Russie, isolée, exclue de partout, fort peu fréquentable puisque dépouillée de toute carte d’accès au club BAO, conduite à soutenir désespérément le régime syrien barbare et d’ailleurs condamné pour tenter sans espoir de conserver son seul et dernier allié au Moyen-Orient. Aujourd’hui, il est admis que la Russie est en train, avec une perspective raisonnable de grande influence, de soutenir, vraiment, pour le cas, un triangle Irak-Iran-Syrie, auquel il ne serait pas impossible… Russie-Irak : armements et accélération de l’Histoire

Déstabilisation, de la Turquie à l’Irak

Déstabilisation, de la Turquie à l’Irak La Turquie continue à s’enfoncer dans l’imbroglio enfanté par sa politique syrienne, et exacerbé ces derniers jours par les échanges de tir entre la Syrie et la Turquie. Les Turcs alternent des déclarations incendiaires et des déclarations apaisantes à propos de ces incidents, qui semblent plutôt un enchaînement de circonstances, avec des provocations qui les accompagnent, mais qui illustrent surtout l’impasse complète caractérisant la position turque : conserver l’intransigeance anti-Assad de la politique turque, continuer à figurer d’une façon offensive dans les tirs de frontière, et en même temps s’alarmer constamment des possibilités d’extension de ces incidents de frontière… Déstabilisation, de la Turquie à l’Irak

Du Caire en Turquie, de Damas en Iran…

Du Caire en Turquie, de Damas en Iran Cet article du journal (en langue arabe) Al Safir, quotidien libanais de gauche, de Daoud Rammal, nous a paru particulièrement intéressant. (Nous ne tenons pas compte de la réputation du journal et de toute cette sorte de choses, nous en tenant pour notre compte au contenu de l’article en question.) L’article est écrit essentiellement à partir de sources diplomatiques diverses, évidemment non identifiées, ce qui implique évidemment un élément d’incertitude évident, mais certainement pas plus, et sans guère de doute plutôt beaucoup moins, qu’un communiqué du quai d’Orsay lu par le ministre en fonction ou qu’un article… Du Caire en Turquie, de Damas en Iran…

L’Algérie, proche de l’Iran sur la question syrienne

L’Algérie, proche de l’Iran sur la question syrienne La position de l’Algérie sur la question syrienne, sa proximité de l’Iran sur ce problème, sont analysées par Sinem Cengiz, dans le journal d’Ankara Szaman (le 9 septembre 2012. La question est observée du point de vue turc, avec l’avis d’experts turcs, mettant en évidence une réelle préoccupation de la Turquie de cette position algérienne. L’analyse présente l’Algérie comme un acteur de plus en plus important dans la crise syrienne, et très préoccupé de contenir les effets du printemps arabe, donc résolument aux côtés du gouvernement Assad. Bien entendu, cette position de l’Algérie se dessinait clairement dès… L’Algérie, proche de l’Iran sur la question syrienne

Grâce à la crise syrienne, la Turquie risque le pire

Grâce à la crise syrienne, la Turquie risque le pire On voit par ailleurs (sur Ouverture libre, ce 3 septembre 2012), la situation à la frontière turque, dans les clamps de réfugiés syriens, ou plutôt autour d’eux puisqu’il s’avère difficile sinon impossible d’y pénétrer. Ces camps s’avèrent être plus des enclaves d’une sorte d’aggloméré comprenant des fractions des rebelles syriens, avec une bonne dose d’islamistes, des rassemblements de déserteurs de l’armée syrienne régulière, et, bien sûr, un pullulement de détachements ou de forces spéciales accointées à divers services habitués des coups fourrés, surtout dans cette occurrence, CIA, Mossad, MI6, DGSE On évoque également, bien entendu,… Grâce à la crise syrienne, la Turquie risque le pire

Scènes quotidiennes du désastre-Erdogan à la frontière syrienne

Scènes quotidiennes du désastre-Erdogan à la frontière syrienne Nous avons pensé qu’il serait intéressant, pour nos lecteurs, de lire deux articles, l’un en partie, l’autre complet, extraits de la presse turque, concernant la situation dans et autour des camps de réfugiés syriens en Turquie. Ils permettent d’avoir une bonne idée de la détérioration de la situation, non pas en Syrie mais bien en Turquie, paradoxe des paradoxes, sans aucun doute. On ne sera pas étonné d’apprendre, à la lumière de ces deux articles, que le mécontentement ne cesse de grandir en Turquie. Le site Today’s Zaman indiquait, le 29 août 2012, que 60,4% des personnes… Scènes quotidiennes du désastre-Erdogan à la frontière syrienne

Le “centre de gravité” se déplace

Le centre de gravité se déplace Un très court commentaire de M K Bhadrakumar, ce 31 août 2012, sur le sommet NAM de Téhéran, permet de musarder autour de quelques points émergeant à ce sommet, constituant, selon le mot de l’auteur, « one of those rare moments when a new centre of gravity is forming in the geopolitics of the Middle East region». On verra également ces divers commentaires comme des compléments spécifiques de l’analyse publiée ce même 1er septembre 2012. Le premier point est une proposition de l’Iran, nouveau président du NAM, de former un groupe de contact sur la Syrie, constitué des trois… Le “centre de gravité” se déplace

Avant d’exister, l’intervention en Syrie est déjà un bourbier

Avant d’exister, l’intervention en Syrie est déjà un bourbier L’évaluation que rapporte Reuters, ce 17 août 2012, porte d’une façon spécifique, non sur une intervention étrangère en Syrie de type classique, mais sur une intervention qu’on jugerait partielle, pour s’assurer des armes chimiques et biologique syriennes. Mais, compte tenu des circonstances actuelles, on doit considérer qu’il s’agit du cas typique d’une intervention étrangère (dito, du bloc BAO) en Syrie, selon un processus d’engrenage qui s’envisage presque automatiquement. Pour l’instant, toute possibilité d’intervention humanitaire (terme convenu) pour assurer une no-fly zone, avec ce que cela suppose d’ambiguïtés, est hors de question en raison de la situation… Avant d’exister, l’intervention en Syrie est déjà un bourbier

D’une narrative l’autre

D’une narrative l’autre 10 août 2012 Considérée comme elle doit l’être, comme le facteur dynamique actuel et temporaire de la crise haute, la crise syrienne s’est largement ouverte à différentes opportunités et destinées affectant aussi bien la Syrie que les acteurs extérieurs, proches et lointains. La démission de Kofi Annan, le 3 août, est l’événement symbolique marquant cette nouvelle phase. La notion de cette crise syrienne se transformant en piège, singulièrement pour les pays du bloc BAO, rencontre le jugement de divers observateurs. Ainsi M K Bhadrakumar, un de nos commentateurs favoris pour le domaine, écrit-il le 9 août 2012 : «[T]he West faces a… D’une narrative l’autre

Le triangle Davutoglu-Erdogan-Syrie

Le triangle Davutoglu-Erdogan-Syrie Un article d’analyse de Hüsnü Mahalli, dans Alakhbar.com du 7 août 2012 (repris notamment dans The Money Party, le 8 août 2012) donne quelques éléments d’explication de la politique syrienne de la Turquie depuis le début des troubles en Syrie, et notamment de l’acharnement turc contre Assad. Dans les détails de la chose, la confusion n’est pas absente, à l’image de la politique elle-même… L’essentiel de cette politique est attribué au ministre des affaires étrangères de Turquie, Ahmet Davutoglu, dans une conjoncture difficile pour lui dans la mesure où cette politique n’a pas conduit à une chute rapide d’Assad comme il l’avait… Le triangle Davutoglu-Erdogan-Syrie

Impuissance et désordre en Syrie, et l’option du piège

Impuissance et désordre en Syrie, et l’option du piège On peut, au travers des nouvelles venues d’horizons très différents, constater combien la crise syrienne est politiquement en cours de paralysie depuis la démission de Kofi Annan et le vote par l’Assemblée Générale de l’ONU d’une résolution non contraignante, qui n’a en rien changé la situation politique elle-même si le système de la communication babille beaucoup à son propos, et dans les deux sens, mais qui est effectivement intervenue dans une fonction paralysante. Parallèlement, la situation sur le terrain a évolué dans le sens du désordre. Cette évolution confirme la perception d’une deuxième chaîne crisique en… Impuissance et désordre en Syrie, et l’option du piège

Notes sur la deuxième “chaîne crisique”…

Notes sur la deuxième chaîne crisique Nous parlâmes, in illo illo tempore (voir le 24 février 2011 et le 2 avril 2011) de chaîne crisique à propos des débuts du printemps arabe. Désormais, ce concept-là, sinon le printemps lui-même, retrouve une nouvelle vigueur, une nouvelle dynamique, dans et à partir de la crise syrienne et nullement réduit à la seule crise syrienne. Il s’agit donc d’une deuxième chaîne crisique, engendrée par la crise syrienne telle qu’elle a été continuellement alimentée depuis près d’un an et demi, par le bloc BAO augmenté avec avantage des amis saoudiens et qataris, et particulièrement depuis novembre 2011 par les… Notes sur la deuxième “chaîne crisique”…

Erdogan veut faire entrer la Turquie dans l’OCS

Erdogan veut faire entrer la Turquie dans l’OCS L’évolution de la Turquie d’Erdogan, ces deux dernières années, est un des cas les plus remarquables, les plus inattendus et les plus incertains des relations internationales, ou plutôt, devrions-nous dire, du chaos international, et ceci expliquant cela. La dernière initiative en date d’Erdogan en rajoute là-dessus. Il s’agit de la volonté affirmée mais assez discrètement proclamée du Premier ministre turc d’obtenir l’adhésion de la Turquie à l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS), basée sur l’axe Moscou-Pékin. L’OCS constitue (dit d’une façon schématisé) une sorte d’organisation anti-OTAN, ou bien, décrite d’une façon plus audacieusement symbolisée, une OTAN anti-OTAN.… Erdogan veut faire entrer la Turquie dans l’OCS

De la Syrie à Ormuz-II, – ou Syrie + Ormuz-II ?

De la Syrie à Ormuz-II, ou Syrie + Ormuz-II ? Dans un mouvement d’une grâce qui n’est pas nouvelle, la machine à narrative du bloc BAO passe, dans tous les cas temporairement, de la Syrie au Golfe de la Mer d’Oman et au détroit d’Ormuz. Nous allons pouvoir recycler nos exclamations admiratives saluant la puissance du bloc BAO, de la Syrie à l’Iran-Ormuz, après avoir effectué le mouvement inverse en janvier-février 2012, de l’Iran-Ormuz à la Syrie. Comme la narrative, les exclamations admiratives son recyclables Ou bien, découvrira-t-on que tout cela peut s’ajouter, s’amalgamer, en un phénomène nouveau qu’on nommerait coordination de crises puis, de… De la Syrie à Ormuz-II, – ou Syrie + Ormuz-II ?