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Thibon

Salut au poète

Salut au poète 10 février 2021 – Je ne suis pas un critique poétique, comme l’on dit d’un critique littéraire (que je ne suis pas également), et d’ailleurs au fond comme l’on dit d’un ‘critique’ en général… Au reste, il semble bien que je ne sois pas un ‘critique’ considéré institutionnellement. Dire cela pour ce propos-là, celui de ce jour et de cette page, c’est dire une fois de plus que je suis sans étiquette, hors du rangement courant, sans identification sociale, – ni même géographique dans ce que la terre natale a d’humain, puisque d’un pays disparu et dénoncé (l’>Algérie française

Salut au poète

Salut au poète 10 février 2021 – Je ne suis pas un critique poétique, comme l’on dit d’un critique littéraire (que je ne suis pas également), et d’ailleurs au fond comme l’on dit d’un ‘critique’ en général… Au reste, il semble bien que je ne sois pas un ‘critique’ considéré institutionnellement. Dire cela pour ce propos-là, celui de ce jour et de cette page, c’est dire une fois de plus que je suis sans étiquette, hors du rangement courant, sans identification sociale, – ni même géographique dans ce que la terre natale a d’humain, puisque d’un pays disparu et dénoncé (l’>Algérie française

RapSit-USA2020 : See You in Hell, Brother !

RapSit-USA2020 : See You in Hell, Brother ! La question centrale aujourd’hui, encore inexprimée hier, peut-être transformée en ultimatum cosmique demain, est de déterminer la mesure de l’événement du 3 novembre. La folle élection USA2020 est en train de morpher dans nos esprits en un énorme affrontement de la globalisation, avec les pour et les contre en ordre de bataille, où chacun des deux camps qui regroupent de très-singuliers alliés de circonstance, voient de plus en plus son existence même engagée. Des alarmes et des déclarations pressantes sonnent partout, comme ce Tweet du général Flynn, – simple illustration de l’état de l’esprit, – décrivant un… RapSit-USA2020 : See You in Hell, Brother !

2016, notre-Verdun et ma “nostalgie-infinie”

2016, notre-Verdun et ma >nostalgie-infinieâme poétique< qui trouve dans la beauté et l'intuition les traces indubitable de la transcendance, que l'esprit générateur d'une pensée que je voudrais cohérente et qui, elle aussi mais par d'autres voies, conclut à la vitale nécessité et à l'incontestable présence de la transcendance. Voici donc 2016 que je salue, pour la force symbolique rassemblée par les concordances du symbolisme des dates (des >anniversaires< comme l'on dit platement) qui y sont présentes. 2016, c'est le dixième anniversaire de ma découverte de Verdun. (De >notre> découverte de Verdun puisque nous fûmes plusieurs et que je ne peux nous oublier, tous comme nous… 2016, notre-Verdun et ma “nostalgie-infinie”