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tchernobyl

38′ dans un autre monde

38′ dans un autre monde Nos amis de WSWS.org montrent une vigilance de tous les instants pour toutes les erreurs grossières du Système qui peuvent se métamorphoser éventuellement en pseudo->complot< et qui, dans tous les cas, révèlent des faiblesses particulièrement préoccupantes. Nous ne verserons pas de larmes de crocodile ni n’affirmerons l’une ou l’autre thèse mais nous en tenant simplement au récit que nous donne le site que nous connaissons bien : beaucoup de travail, de labeur, de précision du détail, etc., et une tendance marquée à voir partout des manigances et surtout les faiblesses du Système ; mais quoi, on ne prête qu’aux riches,… 38′ dans un autre monde

Où est la bonne nouvelle ?

Où est la bonne nouvelle ? En avril se commémorait la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. C’est à cette occasion que fut amorcée la Glasnost instituée par le liquidateur de l’Union Soviétique. Fukushima ne semble pas avoir donné lieu à une réplique de la nature de celle qui avait bouleversé le monde, la disparition du bloc communiste et son installation dans l’ère du capitalisme sans contradiction aucune. General Electric, coupable d’avoir localisé cette monstruosité sur un site connu pour être vulnérable à des secousses telluriques, vient d’être récompensé grassement. Il phagocyte Alstom récemment renfloué par l’État français, soit par une dette contractée au nom du peuple… Où est la bonne nouvelle ?

Fukushima, révélateur d’une crise institutionnelle majeure

Fukushima, révélateur d’une crise institutionnelle majeure Le 11 mars 2011 restera sans doute dans l’histoire du 21e siècle le symbole d’une remise en cause profonde des institutions technico-politiques qui ont jusqu’à présent défini ce que l’on appelle le monde développé. La société japonaise est la première impliquée, mais il en est de même de la société nord-américaine et bien entendu de la société européenne qui ne peut se désintéresser des engagements nucléaires ou économiques pris par certains de ses Etats-membres. Ceux qui sous prétexte de respecter le deuil japonais ou de tenir compte de la complexité de la question refusent d’aborder les questions organisationnelles et… Fukushima, révélateur d’une crise institutionnelle majeure

Notes sur Fukushima & le reste (dde.crisis)

Notes sur Fukushima & le reste (dde.crisis) Le numéro daté du 10 avril 2011 de dde.crisis continue l’exploration du phénomène des crises, de leur identification, de leurs enchaînements, de leurs proximités nécessaires, de leurs destins, etc. Cet intérêt se justifie évidemment par le fait que >la crise< en tant que telle devient le matériau principal de la structure des relations internationales d'un monde lui-même plongé dans la crise terminale du Système. C'est la crise de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima et tout ce qui l'accompagne, précisément sa cause et ses conséquences, mais aussi ses correspondances avec la crise libyenne, qui forment le fil rouge… Notes sur Fukushima & le reste (dde.crisis)

Fukushima: situation désespérée mais pas si grave que ça

Résumons : on nous annonce que la catastrophe nucléaire de Fukushima passe au niveau 7, niveau maxi, type-Tchernobyl, ce qui signifie qu’on peut effectivement parler de catastrophe. Par ailleurs, exactement à l’instant où l’on dit cela, l’on dit que, non, la situation n’est pas du tout si mauvaise que cela, d’ailleurs en pleine amélioration, ou bien n’importe quoi du style, bref terriblement meilleure qu’à Tchernobyl. Par conséquent, on a haussé la pseudo-semi-maxi catastrophe de Fukushima au niveau de Tchernobyl, peut-être et sans doute rétrospectivement imaginons-nous parce que nous n’y comprenons rien, parce que maintenant, tout va bien, et que faire de Fukushima l’équivalent de Tchernobyl… Fukushima: situation désespérée mais pas si grave que ça

Avenir du nucléaire, avenir de l’humanité

Avenir du nucléaire, avenir de l’humanité L’accident majeur qui vient de se produire à Fukushima Dai-Ichi, dont l’issu semble encore indéterminée, est considérée par beaucoup d’observateurs comme devant obliger l’ensemble des pays du monde à s’interroger sur le recours à l’énergie nucléaire. Mais nous pensons qu’il faut aller au delà. C’est sur la nature même de l’évolution des sociétés humaines que cet événement pose des questions, ainsi que sur les directions que paraît prendre cette évolution. Les guerres mondiales, ou l’explosion de Tchernobyl, avaient pu malgré leur ampleur passer pour des évènements non symptomatiques. Aujourd’hui, Fukushima s’ajoute à un long enchaînement de crises qui semblent… Avenir du nucléaire, avenir de l’humanité

La crise de Fukushima devient structurelle

La caractéristique de la crise de l’usine nucléaire de Fukushima est l’incertitude initiale de sa gravité, au travers de la variation de sa perception, des interférences constantes et souvent intéressées des évaluations dans tous les sens, par conséquent le temps nécessaire pour fixer dans notre perception sa gravité, son importance, sa durée. Il y eut d’abord une alerte générale très intense, suivi d’une brutale disparition de cette alarme en conjonction avec le paroxysme de la crise libyenne. Nous sommes maintenant dans une troisième phase de la perception qui est celle d’une évaluation plus fouillée, ponctuée par des aveux d’impuissance et divers échecs, sur place, pour… La crise de Fukushima devient structurelle

La gravité de la crise nucléaire : le monde versus le Japon

La gravité de la crise nucléaire : le monde versus le Japon La situation de l’évaluation de la crise nucléaire au Japon est marquée par une extraordinaire différence d’appréciation du jugement de la gravité de cette crise entre les autorités japonaises d’une part, la plupart des organisations internationales et des grands pays d’autre part. Le jugement communiqué hier à une commission de l’Assemblée Nationale par le ministre français Besson selon lequel la crise japonaise pourrait s’avérer pire que Tchernobyl est largement partagé par le reste de la communauté internationale, au contraire de l’évaluation générale qu’en font les autorités japonaises ; devant les députés européens, le… La gravité de la crise nucléaire : le monde versus le Japon

Le feu russe ressuscite Tchernobyl

Le feu russe ressuscite Tchernobyl Les incendies de forêt et surtout de tourbières qui ravagent la Russie, au cur d’un été de sécheresse et de canicule sans précédent, produisent des effets macro-écologiques (comme l’enfermement de Moscou dans une chape de smog faite des fumées et des cendres des incendies, avec une situation proche du seuil d’urgence sanitaire) et certains autres, à variation symbolique et politique. Dans ce dernier domaine, la crainte officielle est que les feux qui approchent des frontières de Biélorussie et d’Ukraine dégagent des particules radioactives résultant de l’accident de Tchernobyl de 1986. Dans EUObserver du 6 août 2010 «The Russian government warned… Le feu russe ressuscite Tchernobyl

Nous et la la référence Tchernobyl

Dans Ouverture libre, nous rassemblons quelques références (ce 22 juin 2010) de l’interprétation de la crise du Golfe du Mexique comme une sorte de Tchernobyl américaniste. C’est, bien entendu, se référer à l’accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en URSS (aujourd’hui en Ukraine), en avril 1986. Nous avons réuni ces textes pour servir de support à cette réflexion. L’accident de Tchernobyl a été l’objet de nombreuses interprétations, dès l’époque où il a eu lieu. L’accident lui-même, les réactions des autorités concernées, ont été aussitôt perçus comme une indication de l’état du système. Gorbatchev lui-même a interprété Tchernobyl dans ce sens et s’est appuyé sur… Nous et la la référence Tchernobyl

Quel Tchernobyl ?

Quel Tchernobyl ? Le dimanche 20 juin 2010, Hervé Kempf, dans Truthout.org, parle, à propos de la catastrophe du Golfe du Mexique, d’un American Tchernobyl. «An uncontrollable industrial catastrophe, a worm-eaten system controlled by a rigid nomenklatura, a dynamic leader who wants to change things: doesn’t that remind you of something? Yes, of course: Chernobyl, the Soviet Communist Party, Gorbachev. »Let’s recall the 1980s: during that era, people knew that the USSR was doing poorly, but who would have bet a franc or a dollar on its rapid collapse? Still less so, given that the country had found an appealing and modern leader. From the… Quel Tchernobyl ?

BP versus les USA, – et le système en cause…

La situation du oil drill du Golfe du Mexique est dramatique dans ses implications directes sur l’environnement. Elle ne l’est pas moins, semble-t-il, ou ne le devient pas moins, dans ses implications politiques et structurelles pour le système en général. On parle ici, d’abord, de l’attitude de BP vis-à-vis des divers acteurs US, à commencer par l’administration Obama. Les rapports, comme l’explique le Guardian le 31 mai 2010, s’enveniment de diverses façons. «BP has challenged widespread scientific claims that vast plumes of oil are spreading underwater from its blown-out rig in the Gulf of Mexico. The denial comes as the oil giant prepares for a… BP versus les USA, – et le système en cause…

Le trou noir du Golfe

Le trou noir du Golfe 31 mai 2010 En quelques jours, tout semble s’être rassemblé pour former ce qu’ils nomment a perfect storm. L’expression désigne le rassemblement, autour d’un événement, des conditions qui font de cet événement quelque chose d’extraordinairement explosif, presque une crise parfaite Nous avons déjà souvent employé l’expression de perfect storm parce que notre temps n’est pas avare de cette sorte d’occurrence. Il semble qu’elle doive servir, à nouveau, pour caractériser la catastrophe de Deepwater Horizon. Enumérons quelques faits Voilà une catastrophe qui dure depuis bientôt six semaines, qui est une catastrophe dès l’origine et qui, pourtant, s’est déroulée pendant un bon… Le trou noir du Golfe

Précisions sur Gorbatchev et la fin de la Guerre froide

Un nouveau livre sur la fin de la Guerre froide vient d’être publié : Arsenals of Folly : The Making of the Nuclear Arms Race, de Richard Rhodes (qui a gagné la Triple Crown des prix littéraires US avec The Making of the Atomic Bomb : Pulitzer Prize, National Book Award and National Book Critics Circle Award). Une recension du livre a été publiée, le 4 novembre, par Charles Matthews dans le quotidien régional US San Jose Mercury News. L’intérêt de ce livre est qu’il donne une appréciation des tenants et aboutissants de la fin de la Guerre froide et complète certains aspects des positions… Précisions sur Gorbatchev et la fin de la Guerre froide