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Washington trahit plus vite que son ombre

Washington trahit plus vite que son ombre Après deux coups de téléphone de Trump, l’un avec Poutine, l’autre avec Erdogan, il semble que les USA soient clairement sur le point de laisser les Kurdes à leur sort désormais assez triste. Les stratèges de >D.C.-la-folle< ont audacieusement calculé qu'il valait mieux, d'une part tenter de maintenir de bonnes relations avec la Turquie, d'autre part tenter d'embrasser ce qu'on ne peut étouffer, à savoir la dynamique d'arrangement que les Russes mènent d'une main de maître en Syrie. Mais quoi, les Kurdes ont l'habitude, ils ont pu mesurer combien la trahison était l'une des >valeurs< préférées des USA… Washington trahit plus vite que son ombre

Londres pire qu’Athènes…

Londres pire qu’Athènes Dans un court billet, Ambrose Evans-Pritchard met en évidence les inquiétudes de certains groupes et experts financiers pour le sort de l’Angleterre, de son budget et du Sterling. Il cite, sans le démentir, l’avis que le sort de l’Angleterre menace d’être pire que celui de la Grèce. (Voir le Daily Telegraph du 11 mars, http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/7423138/Europes-banks-brace-for-UK-debt-crisis.html.) «UniCredit has alerted investors in a client note that Britain is at serious risk of a bond market and sterling debacle and faces even more intractable budget woes than Greece. [] »No turning back: Sterling is going to fall further over coming months, warns Unicredit. The Italian-German… Londres pire qu’Athènes…