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Notes sur la mercantilisation en vrille

Notes sur la mercantilisation en vrille 19 septembre 2020 – L’on sait que l’un des aspects les plus remarquables et les plus insupportables c’est selon, de l’ensemble capitalisme-globalisation, c’est la mercantilisation (ou marchandisation) du monde. Cette évolution, même si elle démarre à la fin du XVIIIème siècle, est une constante de la modernité puis de la tentative (pour certains) de ‘normalisation’ de la modernité en postmodernité. La critique de ce processus (ce qui le rend insupportable à certains) a bien été résumé notamment par Michel Crozier dans son Stendhal et l’Amérique, décrivant la rupture de Stendhal avec l’idée de l’Amérique en 1825, et la façon… Notes sur la mercantilisation en vrille

Notes sur la mercantilisation en vrille

Notes sur la mercantilisation en vrille 19 septembre 2020 – L’on sait que l’un des aspects les plus remarquables et les plus insupportables c’est selon, de l’ensemble capitalisme-globalisation, c’est la mercantilisation (ou marchandisation) du monde. Cette évolution, même si elle démarre à la fin du XVIIIème siècle, est une constante de la modernité puis de la tentative (pour certains) de ‘normalisation’ de la modernité en postmodernité. La critique de ce processus (ce qui le rend insupportable à certains) a bien été résumé notamment par Michel Crozier dans son Stendhal et l’Amérique, décrivant la rupture de Stendhal avec l’idée de l’Amérique en 1825, et la façon… Notes sur la mercantilisation en vrille

Stendhal contre la promesse américaine

Stendhal contre la promesse américaine Stendhal attaque le modèle ou la matrice américaine, et c’est dans Lucien Leuwen. Quelques extraits de son dernier roman édité gratuitement par Ebooksgratuits.com. Le paradoxe vient de ce que Stendhal, bonapartiste de gauche, est plutôt républicain, de tempérament. Mais de l’autre il garde un attachement pour la brillance de la société aristocratique qu’il sent disparaître comme tout le monde à cette époque de socialisme, de révolution industrielle et de républicanisme. Stendhal annonce ainsi Visconti et la version la plus distinguée du vieux gauchisme caviar… Voici ce qu’il écrit dans la deuxième préface de son dernier roman : « L’auteur ne… Stendhal contre la promesse américaine

Stendhal et la médiocrité américaine

Stendhal et la médiocrité américaine Stendhal aimait une société qu'il cherchait à détruire. D'un côté il était bonapartiste, athée, républicain, de l'autre il aimait les marquises (comparez la Sanseverina à Bovary pour voir !), les cours italiennes, les papotages élégants et les bonnes manières en voie de disparition. Car derrière la république il voyait le bourgeois. Il suffit d'aller à la source pour lire, sur cette belle question du temps immobile et américanisé, les sentences suivantes, toutes extraites de Lucien Leuwen ou de ses préfaces (sur ebooksgratuits.com). Epicerie mondialisée : « L’auteur ne voudrait pour rien au monde vivre sous une démocratie semblable à celle… Stendhal et la médiocrité américaine

Glossaire.dde : le “déchaînement de la Matière”

Glossaire.dde : le >déchaînement de la MatièreGlossaire< sous l'expression de >déchaînement de la Matière< est un événement conceptuel, symbolique et même métaphysique, fondamental dans notre vision métahistorique qui donne la base de notre appréciation des évènements actuels et courants. (En commençant à utiliser de façon régulière et substantive cette expression, autour de 2009, – notre moteur de recherche identifie l'expression pour la première fois sur le site le 27 octobre 2009, – nous utilisions le mot >matière< avec une minuscule. Depuis, nous avons choisi d'en faire un usage majusculé, signe que le concept est devenu pour nous, à la fois fondateur et métaphysique.) Il s’agit… Glossaire.dde : le “déchaînement de la Matière”

La capitulation de la raison humaine

Les événements de la crise libyenne, qui est peut-être une guerre, qui sait ? sont loin d’avoir la pureté cristalline du manichéisme qu’affectionne notre pensée, ou plutôt notre raison, plongée dans le désordre barbare des contradictions imposées par un Système en crise terminale et auquel cette raison semble avoir tout sacrifié. Sans aucun doute a-t-elle sacrifié, cette raison, sa raison d’être et sa fonction fondamentale qui est de tenter d’établir une mesure du monde, en acceptant de conduire à son terme une telle soumission. Il existe un cas précis démontrant cette situation, avec la crise libyenne qui est peut-être une guerre. Il s’agit de la… La capitulation de la raison humaine

Deuxième Partie: Le “rêve américain” et vice-versa

La Grâce de l’Histoire Le texte ci-dessous est la Deuxième Partie de l’essai métahistorique de Philippe Grasset La grâce de l’Histoire, dont la publication sur dedefensa.org a commencé le 18 décembre 2009 (Introduction), pour se poursuivre le 25 janvier 2010 (Première Partie : «De Iéna à Verdun».) [Ce texte est accessible dans son entièreté. Une version en pdf est accessible seulement aux personnes ayant souscrit à l'achat de La Grâce de l'Histoire. Après avoir réalisé les formalités de souscription, vous verrez apparaître au-dessus de ce texte l’option d’activation de la version en pdf.] Le >rêve américain< et vice-versa Nous sommes parvenus au terme de l’aventure… Deuxième Partie: Le “rêve américain” et vice-versa

Le crépuscule de la Sainte Alliance

Le crépuscule de la Sainte Alliance 22 mars 2010 Quelque part, disons entre 1990 et 1999, s’établit fermement et à découvert une alliance qui, dans sa potentialité, vient de beaucoup plus loin qu’on ne croit, qui vient, par exemple, de ce jour de 1825 sans doute, où Stendhal bondit d’horreur et abandonna aussitôt son engagement de libéral pro-américaniste, en entendant ce mot du dénommé Gouhier: «Les Lumières c’est désormais l’industrie.» (*) Lequel mot, quoi qu’il en soit de Stendhal et de ses divers écrits, annonçait un destin qui n’a cessé de se renforcer et qui est devenue une réalité criante dans les années 1990. La… Le crépuscule de la Sainte Alliance