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Notes sur une panique allemande

Notes sur une panique allemande 27 décembre 2018 – Le ministre allemand des affaires étrangères, le terne Heiko Maas, s’est signalé par une intervention de poids, hier, auprès de l’agence de presse allemande DPA. Il s’agit d’une déclaration, assez courte mais d’une fermeté remarquable et portant sur une situation crisique, dans un sens clairement identifié, – à propos du projet US de sortir du traité FNI et contre ce projet dans les conséquences évoquées par les USA. Le pays qui est mis en cause est bien les USA, et l’acte qui est mis en cause c’est le projet des USA, une fois sortis du traité,… Notes sur une panique allemande

Que faire du traité INF ?

Après les agitations diverses autour de la question des systèmes BMD (Ballistic Missile Defense) en Europe, en Pologne (et en Tchéquie) plus précisément, il y a des indications sérieuses sur un vigoureux débat en cours en Russie. Le thème : faut-il ou non sortir du traité INF (FNI) de décembre 1987, sur l’élimination des forces nucléaires intermédiaires ? Martin Sieff, de UPI, analyse ce débat, et son texte est repris dans Spacewar.com ce 2 mars. «A remarkable strategic debate has opened up in the Russian media about the merits and pitfalls of withdrawing from the Intermediate Nuclear Forces Treaty. As we reported in BMD Focus… Que faire du traité INF ?

“The Economist” et la fin de l’OTAN

The Economist et la fin de l’OTAN 2 mars 2007 Notre ami Jean-Philippe Immarigeon nous signale justement et fort à propos cet article de The Economist, qu’il a lui-même commenté à l’attention de ses lecteurs. Cet article concerne l’Amérique, l’alliance américaniste de l’Europe, plus profondément la considération autrefois haute et désormais catastrophique où l’Europe tient l’Amérique ; il dissimule à peine l’humeur affreuse, le dépit et le désarroi où se trouvent les meilleurs amis de l’Amérique, notamment ceux du Royaume-Uni, et l’idée de rupture à laquelle ils donnent désormais tout son dû. L’article se lit au son de la Marche funèbre. A notre avis, il… “The Economist” et la fin de l’OTAN