UK-USA et l’“oil spill” : on devient nerveux
UK-USA et l’oil spill : on devient nerveux Malgré un coup de téléphone plein d’amicales banalités entre Cameron et BHO samedi dernier, les special relationships, désormais en première ligne dans la catastrophe du Golfe du Mexique (voir notre F&Cdu 12 juin 2010), continuent à se détériorer. Positions officielles et petits signes qui ne trompent pas Mercredi, le Premier ministre Cameron a fait son intervention la plus ferme en faveur de BP, contre le rôle de bouc émissaire (assorti de paiements considérables) qu’Obama fait jouer au consortium nominalement britannique, et précisément important pour le Royaume-Uni à cause de son rôle dans le financement des pensions. Le… UK-USA et l’“oil spill” : on devient nerveux