Grâce à la crise syrienne, la Turquie risque le pire
Grâce à la crise syrienne, la Turquie risque le pire On voit par ailleurs (sur Ouverture libre, ce 3 septembre 2012), la situation à la frontière turque, dans les clamps de réfugiés syriens, ou plutôt autour d’eux puisqu’il s’avère difficile sinon impossible d’y pénétrer. Ces camps s’avèrent être plus des enclaves d’une sorte d’aggloméré comprenant des fractions des rebelles syriens, avec une bonne dose d’islamistes, des rassemblements de déserteurs de l’armée syrienne régulière, et, bien sûr, un pullulement de détachements ou de forces spéciales accointées à divers services habitués des coups fourrés, surtout dans cette occurrence, CIA, Mossad, MI6, DGSE On évoque également, bien entendu,… Grâce à la crise syrienne, la Turquie risque le pire