De la paradoxale vertu de la cruelle pratique de la prise d’otages
De la paradoxale vertu de la cruelle pratique de la prise d’otages 3 septembre 2004 Il y a peu, le 27 août, Elaine Sciolino, du New York Times et de l’International Herald Tribune, nous annonçait, et avec bien des arguments si l’on s’en tient à l’apparente raison, l’effacement de la France glorieuse et empanachée à-la-Villepin. Le principal argument était le visage, le verbe et l’esprit du nouveau ministre des affaires étrangères Michel Barnier, qui nous dit, rapporte Sciolino : « The first reflex, I say bluntly, must be European » « The fact is that Barnier was once the Quai d’Orsay’s point man on Europe… De la paradoxale vertu de la cruelle pratique de la prise d’otages