“Too big to fight”, en fait…
Too big to fight, en fait Nous sommes prisonniers des banques, ou, disons, de la dictature mécanique du poids des banques. Le fameux adage de la puissance du système financier devient par évolution analogique l’adage de notre emprisonnement : Too big to fail (trop gros pour perdre) devient Too big to fight (trop grosses pour qu’on se batte contre elles). Une variation pourrait être : Too big to fall (trop gros pour tomber) devenant Too big to break (trop grosses pour qu’on les brise). Ce n’est pas que le combat soit impossible, c’est que la taille des banques fait qu’il est impossible de songer à… “Too big to fight”, en fait…