Les “amis” Kazakhs et l’an 2010 pour l’OSCE
Henry Kissinger, avec l’âge, le changement d’administration et le constat de l’affaiblissement étourdissant de la puissance US, retrouve des paroles de vieux sage. Changement de saison, si l’on veut, et souplesse adaptable du jugement. C’est le cas lorsqu’il déclare à propos de la Russie (dans une interview au Figaro le 17 octobre 2009, dont nous parlons par ailleurs): «Nous avons commis l’erreur d’avoir parfois manqué de considération à son égard. Lorsque vous avez un partenaire stratégique qui, à un moment donné de son histoire, devient plus faible pour des raisons intérieures, c’est toujours une erreur que de le traiter avec désinvolture. Nous avons sous-estimé l’humiliation… Les “amis” Kazakhs et l’an 2010 pour l’OSCE