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salons

28 minutes et le “climat” change

28 minutes et le >climat< change 13 décembre 2015 – J’ai pris l’habitude, un peu au hasard du temps perdu, de m’attarder à l’émission 28 minutes (autour de 20H10-20H40) d’Elisabeth Quinn, sur Arte. C’est la sorte d’émission un peu intello-bobo, parfois intéressante objectivement, qui donne dans tous les cas une bonne indication de la température dans la parti des salonards, à Paris et dans les capitales des mêmes latitudes. Bref, on est au cœur du bloc BAO sans y être totalement emprisonnés… Ce qui me conduit à m’attarder à cette émission du 9 décembre (voyez le DVD de la chose sur le site de l’émission).… 28 minutes et le “climat” change

“Continuez, Elkabbach !”

L’interview de Poutine pour TF1 et Europe1, passée le 4 juin en soirée, on l’a vue, entendue et largement commentée (sauf dans la presse-Système anglo-saxonne où tout ce qui est Poutine tout en n'étant pas anglo-saxon ne passe guère). Russia Today en fait ses choux gras, ce 5 juin 2014, et l’on dira que c’est de bonne guerre. Plus intéressant, beaucoup plus intéressant, l'ensemble des impressions de Jean-Pierre Elkabbach, l’intervieweur d’Europe1. Elkabbach est presque aussi vieux que la Vème République dans le sport de l’interview. Il en a vu de vertes et de pas mûres, et il a su manœuvrer avec habileté pour rester toujours… “Continuez, Elkabbach !”

La révolution à Washington ? Washington se marre

La révolution à Washington ? Washington se marre Sur Truthdig.com, le 9 novembre 2010, Richard Reeves fait un article où il restitue le climat des conversations et discussions de salon et de bistrot à Washington, concernant Tea Party et ses intentions révolutionnaires Et qu’est-ce qu’il se dit ? Rien, puisque Washington se contente de se marrer (« Washington Laughs at Revolution’»). Et Washington a bien des raisons de se marrer. On a déjà annoncé des révolutions, de nouveaux élus (freshmen) arrivant à Washington décidés à tout changer. Cela s’est toujours terminé de la même façon : gloutonnement digérés par le système, ses trucs, ses compromissions,… La révolution à Washington ? Washington se marre