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RUSI

De Fantasy-RAND à une « certaine admiration »

De Fantasy-RAND à une « certaine admiration » 31 mai 2025 (18H40) – Il faut croire que l’on ne peut se passer des jeux les plus passionnants accrochés à des idées extrêmement fixes, aussi fixes qu’une ancre d’un grand porte-avions d’attaque de l’US Navy (bien entendu). Cette ancre formidable qui fixe notre pensée dans les limites autorisées, ce sont la barbarie, l’incompétence, l’ahurissement idiotique des hordes barbares d’au-delà du Dniepr. Par conséquent, le débat autour de leur capacité à dépasser la technologie de l’arc et des flèches, peut-être pour montrer quelque indulgence de l’arbalète et de ses traits, – ce débat-là n’en finit pas. A… De Fantasy-RAND à une « certaine admiration »

Les infortunes de leur vertu

S’il y a un dieu pour le déterminisme-narrativiste, manifestement il devait être hier au repos si l’on adopte le point de vue que nous suivons. Il y eut une occurrence qui, pour les esprits bien-faits, devrait s’avérer assez révélatrice, pour au moins une réflexion sur le fonctionnement du Système, éventuellement pour un bon rire réparateur. Nous allons donc mettre côte à côte la dernière performance en date du SACEUR, le commandant en chef suprême des forces alliées en Europe, devenu fameux ces derniers jours et qui donnait une conférence de presse hier à Mons, à son quartier-général (SHAPE), et qui s’y montra plutôt penaud et… Les infortunes de leur vertu

La perception amplifiée de la crise de la défense britannique

On observe l’accroissement rapide de la perception d’une crise profonde de la défense britannique, à cause des contraintes budgétaires dues à un enchaînement d’événements dont la crise financière est le dernier et le plus sévère. Nous parlions hier, 2 juillet 2009, de cette question dans le contexte plus large de l’évolution de la stratégie britannique, à propos du rapport Shared Responsibilities A national security strategy for the UK, de l’Institute for Public Policy Research (IPPR). Un second rapport, plus précis dans les chiffres comptables de la crise, est publié par le plus traditionnel think tank de l’establishment britannique, le RUSI (Royal United Services Institute), le… La perception amplifiée de la crise de la défense britannique

Entre “sympathie” et “frustration”, un dilemme à la mesure de la politique occidentaliste

Parmi les experts consultés, l’avis de Jonathan Eyal, directeur des études au Royal United Services Institute (RUSI), est intéressant dans la mesure où il résume bien la position dominante à l’Ouest, fortement influencée par les Anglo-Saxons. Il s’agit de la position dominante simplement par absence d’alternative, parce qu’aucune alternative ne s’est révélée à l’Ouest. La France et l’Allemagne sont principalement fautives à cet égard, qui sont les deux seuls pays qui auraient pu, ces dernières années, formuler et appliquer effectivement une telle alternative politique. Même le couple Chirac-Schroëder (avant Chirac-Merkel et Sarkozy-Merkel) n’a pas pu établir cette alternative, s’il a prétendu suivre une politique recherchant… Entre “sympathie” et “frustration”, un dilemme à la mesure de la politique occidentaliste

L’avis placide d’un expert sans complication

On s’interroge beaucoup sur l’étonnante (contre-) peformance de Tsahal, y compris parmi nos lecteurs (voir le Forum au 8 août). Il y a les explications complexes, avançant notamment diverses thèses de manuvres dissimulées, plans secrets, etc. Il y a aussi les avis simples, ceux qui s’en tiennent au constat de l’évidence. C’est le cas de Amyas Godfrey, dans le Guardian aujourd’hui. Expert très classique du RUSI (Royal United Services Institute de Londres, également connu par son lieu d’élection pour les discussions d’experts de Chatham House), Godfrey ne fait finalement qu’aligner les évidences. La surprise est qu’il faille effectivement les répéter, et qu’il faille les répéter… L’avis placide d’un expert sans complication

Folamour, new age

Folamour, new age 10 janvier 2003 On trouve sur le site du Guardian ( http://www.guardian.co.uk) les différents liens donnant accès aux articles relatifs à la conférence Guardian/RUSI (Royal United Servuces Institute) du 8 janvier. On y parlait du nucléaire dans notre nouvel âge. En fait, on ne parlait, en tournant autour, que du seul problème autour du nucléaire aujourd’hui : qu’est-ce que l’évolution américaine sur cette question va provoquer ? Nous citons ci-après quelques textes du Guardian à propos de cette conférence : • L’article présentant plus directement les relations USA-Europe dans cette question du nucléaire, notamment autour de l’OTAN. On peut rapporter, pour goûter… Folamour, new age