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Oups… Ron Paul, secrétaire d’État ?

Oups… Ron Paul, secrétaire d’État ? C’est une blague, ce n’est pas une blague ; c’est un ballon d’essai, c’est de la provoc’, c’est n’importe quoi, etc., – choisissez… C’est dans tous les cas, à notre sens, un premier signe de ce qui nous attend avec The Donald, désormais candidat quasi-désigné du parti républicain : des rumeurs folles, des annonces inattendues, bref une flot de communication caractérisé par l’inattendu, autant venant de lui que de ses adversaires et de ses partisans. Les Chinois n’aiment pas Trump, principalement parce qu’il est >imprévisibleconservative< journalist, works for The Washington Post where she espouses the neocon line on foreign… Oups… Ron Paul, secrétaire d’État ?

Out of History, – par en-dessous…

Out of History, – par en-dessous… 23 juillet 2012 – Depuis qu’il a ouvert son propre site à l’enseigne de The Institute for Political Economy, Paul Craig Roberts (PCR), l’ancien ministre adjoint du Trésor de l’administration Reagan, a entrepris un travail plus en profondeur que celui auquel il nous avait accoutumé. Tout en gardant son ton polémique selon les circonstances, et en abordant toujours quoique plus occasionnellement des sujets de synthèse assez vastes, il développe désormais des analyses financières (surtout) et économiques très poussées. Il écrit certains articles avec l’ancienne analyste de Bear Starns et ancienne directrice de la gestion chez Goldman Sachs, passée à… Out of History, – par en-dessous…

Gorbatchev ou Eltsine? D’abord, la guerre contre la Dépression

Si l’on veut poursuivre la question que soulèvent le comportement du President-elect qui-est-déjà-président, de ses choix pour constituer une équipe qui semble nous rajeunir de 15 ans (Clinton, circa 1993), d’une politique possible/probable qui ne serait qu’une duplication adaptée aux circonstances de crise de la politique catastrophique qui conduisit à ces circonstances de crise, il y aussi à considérer l’hypothèse de la guerre totale, ou, plutôt, l’évidence de la guerre totale. Dans ce cas, prisonnier ou complice de l’establishment, qu’importe, Obama n’aurait fait que choisir ce qu’il juge être dans l’immédiat les seuls capables de réagir à une guerre féroce à laquelle les USA se… Gorbatchev ou Eltsine? D’abord, la guerre contre la Dépression

Il faut savoir tenir les promesses que l’on n’a pas faites

Il faut savoir tenir les promesses que l’on n’a pas faites 1er décembre 2008 La controverse générale est déjà bien engagée autour du président Obama, alors que, comme chacun sait, il se trouve encore à sept semaines de son entrée en fonction, qu’il n’est encore que the President-elect. Il est vrai qu’Obama agit comme président d’ores et déjà, avec une promptitude extraordinaire, ce qui est à la fois célébré comme une des vertus extraordinaires de cet homme aux multiples vertus extraordinaires, à la fois utilisé pour lancer contre lui des attaques déjà furieuses et presque venimeuses, et contre la tournure que prend sa présidence qui… Il faut savoir tenir les promesses que l’on n’a pas faites

De la globalisation à-la-Clinton (et selon Wall Street) au tsunami

De la globalisation à-la-Clinton (et selon Wall Street) au tsunami On sait que certains pays touchés par le tsunami font partie de ces pays asiatiques émergents qui, dans les années 1990, connurent de profonds remous économiques. C’est particulièrement le cas pour la Thaïlande et l’Indonésie, deux pays qui furent au départ de l’immense crise économique qui ravagea le monde émergent, en 1997-98, avec les crises économiques notamment en Chine, en Russie, au Brésil. Cette crise, c’est fondamentalement la crise de la globalisation (pas crise de la mondialisation). C’est la crise de la dérégulation, conduisant à l’ouverture des marchés hors de toute régulation. Les bouleversements ainsi… De la globalisation à-la-Clinton (et selon Wall Street) au tsunami

L’équipe Kerry : plus ça change, plus c’est la même chose

L’équipe Kerry : plus ça change, plus c’est la même chose 31 mai 2004 Le New York Times/International Herald Tribune publie une intéressante analyse sur l’équipe Kerry de sécurité nationale. On croirait du Clinton pur et dur ; la seule originalité (par rapport à Clinton, s’entend) se trouve dans la présence particulièrement appuyée du sénateur Joseph Biden. « Seated in leather swivel chairs in the glass-walled conference room at Senator John Kerry’s Washington campaign headquarters was a veritable reunion of President Bill Clinton’s national security team: Madeleine Albright, Sandy Berger, William Perry and General John Shalikashvili. Richard Holbrooke joined his former colleagues via conference call… L’équipe Kerry : plus ça change, plus c’est la même chose