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La noosphère (III) : Mythologies polythéistes

La noosphère (III) : Mythologies polythéistes Un ensemble de mythes englobe le polythéisme sous toutes ses formes et est symbolisé par l’expression mathématiquement invalide [0 = ∞]. Le nombre est zéro parce que dans ce schéma, il y a exactement zéro dieu réel. Ici, 0 est très différent de l’état NULL dont nous avons parlé précédemment, qui est le déni acharné des athées et/ou l’absence expérimentée de tout ce qui est divin. Zéro est également l’infini puisque le nombre de dieux, de déesses et de dieux en minuscules n’est limité par aucun principe. Si vous avez une déesse de la forêt, alors pourquoi pas une… La noosphère (III) : Mythologies polythéistes

La noosphère (III) : Mythologies polythéistes

La noosphère (III) : Mythologies polythéistes Un ensemble de mythes englobe le polythéisme sous toutes ses formes et est symbolisé par l’expression mathématiquement invalide [0 = ∞]. Le nombre est zéro parce que dans ce schéma, il y a exactement zéro dieu réel. Ici, 0 est très différent de l’état NULL dont nous avons parlé précédemment, qui est le déni acharné des athées et/ou l’absence expérimentée de tout ce qui est divin. Zéro est également l’infini puisque le nombre de dieux, de déesses et de dieux en minuscules n’est limité par aucun principe. Si vous avez une déesse de la forêt, alors pourquoi pas une… La noosphère (III) : Mythologies polythéistes

Le fardeau du Général

Le fardeau du Général Nous/je vous l’avoue, nous avons hésité. Fallait-il employer le nous majestatif, celui du dedefensa.org des grands jours courants, alors que la République est en danger et que formez vos bataillons ? Ou le je, plus élastique, plus primesautier, celui du chroniqueur à la tour d’ivoire à qui on ne la fait pas… Grand débat, conférence de rédaction, enfin décision prise : puisque la patrie est en danger, aux armes citoyens, à toutes les armes, et l’on utilisera ce qu’on veut, à la fois le nous et le je, et le je et le nous. On verra bien. La NSA, elle, c’est… Le fardeau du Général

Après la nationalisation, plus rien ne sera plus jamais comme avant

La nationalisation de la banque Northern Rock par le gouvernement britannique clôt le chapitre de la chute de cet établissement bancaire commencée en août dernier. A côté des observations techniques, des observations budgétaires pour ce qui concerne le gouvernement qui hérite d’un passif considérable, des observations sur la gestion qui fait que cette banque qui a constitué l’archétype du risque financier inconsidéré reçoit une aide massive de l’Etat, on est conduit à des considérations bien plus vastes. Une situation politique et idéologique nouvelle a été créée par l’acte de la nationalisation, mot devenu absolument sacrilège ces trente dernières années. Mot sacrilège? La force des choses… Après la nationalisation, plus rien ne sera plus jamais comme avant

La crise britannique : on n’est plus très loin d’une “nationalisation” de facto de Northern Rock

La crise bancaire britannique, avatar national (pour l’instant) de la crise financière en cours depuis août, met le secteur bancaire britannique, dernier fleuron de la puissance de l’Empire, à fort rude épreuve. Elle met aussi les princpes du libéralisme bien-aimé dans une position bien délicate. Le gouvernement intervient maintenant massivement dans la crise, notamment auprès de Northern Rock. Le gouvernement garantit désormais les dépôts des clients de la banque, pour tenter d’enrayer la ruée des retraits; il n’est pas loin de concrétiser cette garantie sur les divers biens de la banque. On n’est plus très loin par conséquent, comme le notent des analystes de la… La crise britannique : on n’est plus très loin d’une “nationalisation” de facto de Northern Rock

La crise et la spécificité britannique

D’autre part et quoi qu’il en soit, il n’est pas indifférent que l’un des pays les plus frappés par la crise venue de nulle part, c’est-à-dire des USA, soit, conformément aux normes des special relationships, le Royaume-Uni. Depuis vendredi, le royaume vit au rythme effréné du chaos de la banque Northern Rock, «Britain’s fifth biggest mortgage lender and the former darling of the financial markets» (souligné sardoniquement en gras par nous), selon un Will Hutton furieux, dans The Observer d’aujourd’hui. C’est la panique dans les rues, pour aller retirer son argent de cette banque aussi solide que le rocher de Gibraltar, «a full-blown run on… La crise et la spécificité britannique

Comme en 1929 et après, avec la communication en plus pour soumettre la psychologie à l’épidémie de la crise

Quelques remarques édifiantes, notamment par la référence faite dans cet article, qui concernent les rues des villes du Royaume-Uni, devant les agences de la banque Northern Rock : «Yesterday something happened that I have not seen in my lifetime, a run on a major British bank. There were queues outside Northern Rock branches as depositors tried to get their money out. »This is the sort of event that happened in America after the Great Crash of 1929. For Northern Rock, this is catastrophe. For the rest of us it marks the end of an era of easy money.» Cette description à sensation extraite d’un article… Comme en 1929 et après, avec la communication en plus pour soumettre la psychologie à l’épidémie de la crise