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révérend

En voilà un qui voit loin-près de nous

En voilà un qui voit loin-près de nous 21 octobre 2020 – On sait maintenant de source directe sinon de source sûre, plusieurs choses d’une incontestable importance : 1) le président Trump sera réélu, d’une façon qui ne laissera aucune ambiguïté ; 2) l’élection conduira à une insurrection civile, puis à une guerre contre Israël (pourquoi ? Comment ? A préciser) ; 3) cette guerre sera aussitôt suivie, sans contradiction logique ni nécessité d’explication de notre chef, par une période de paix notable mais, nous semble-t-il (plutôt parole d’instinct, d’après ce que je ressent), – assez courte ; 4) puis nous aurons la Fin des… En voilà un qui voit loin-près de nous

En voilà un qui voit loin-près de nous

En voilà un qui voit loin-près de nous 21 octobre 2020 – On sait maintenant de source directe sinon de source sûre, plusieurs choses d’une incontestable importance : 1) le président Trump sera réélu, d’une façon qui ne laissera aucune ambiguïté ; 2) l’élection conduira à une insurrection civile, puis à une guerre contre Israël (pourquoi ? Comment ? A préciser) ; 3) cette guerre sera aussitôt suivie, sans contradiction logique ni nécessité d’explication de notre chef, par une période de paix notable mais, nous semble-t-il (plutôt parole d’instinct, d’après ce que je ressent), – assez courte ; 4) puis nous aurons la Fin des… En voilà un qui voit loin-près de nous

La folle de l’ONU

La folle de l’ONU Dans ces temps de complète inversion, même le théâtre de l’ONU nous montre des situations exposées en pleine lumière et sans aucune retenue de cette complète inversion par rapport aux thèmes classiques du véritable théâtre. Le titre que nous donnons à ce Bloc-Notes renvoie par analogie au titre de la pièce de Jean Giraudoux, La folle de Chaillot, écrite pendant l’Occupation et crée en 1945 (avec Louis Jouvet et Marguerite Moreno), et qui déployait un riche sens politique, philosophique, et même un sens prophétique selon le compte-rendu qu'on en retrouve : « Cette pièce est tout à la fois folklorique, ethnologique,… La folle de l’ONU

BHO, échec historique du Système

BHO, échec historique du Système 30 octobre 2012 Une enquête statistique approfondie de Associated Press montre que la présidence de Barack Obama, l’élection puis la magistrature du premier président africain-américain des USA, a vu une aggravation de ce que nous nommerions le racisme électoral aux USA, c’est-à-dire l’intervention négative, effective et affirmée, du facteur racial calculé d’une façon statistique par l’enquête, dans l’attitude politique des citoyens américains blancs (d’origine européenne, avec principalement les WASP, ou White, Anglo-Saxons, Protestant). Il s’agit donc d’une indication particulièrement réaliste de l’importance du facteur racial dans le processus électoral. D’autre part, cette augmentation s’exprime également dans les opinions en général… BHO, échec historique du Système

Ce n’est tout de même pas parce qu’il est black

Ce n’est tout de même pas parce qu’il est black Achevons la phrase : qu’on ne peut pas le critiquer. De qui s’agit-il ? Du président Barack Obama. Et qui tient ce langage qu’on pourrait juger évidemment raciste ? Un autre black, bien entendu «It’s not personal. They’re attacking his policies, or lack thereof, with regard to this gigantic unemployment problem among African-Americans. If we can’t criticize a black president, then it’s all over.» Le mot est pourtant d’un Africain Américain de la meilleure composition qui soit. Le président du Congressional Black Caucus, le député démocrate Emanuel Cleaver, tient un poste important au Congrès, surtout… Ce n’est tout de même pas parce qu’il est black