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RapSit-USA2025 : La lawfare du pouvoir

RapSit-USA2025 : La lawfare du pouvoir Laissons de côté, au moins pour quelques jours, les tribulations israélo-iraniennes et ukrainiennes. Revenons à la situation intérieure avec une très importante décision par six voix conservatrices contre trois libérales de la Cour Suprême, donnant raison au président contre les juges qui ont pris des décisions bloquant l’action du président pour l’ensemble du territoire, sur simple décision d’un seul juge, jusqu’à des cas qui peuvent au départ ne concerner qu’qu’une seule personne. Ce passage de l’individuel au collectif est fondamental. Il justifie toute l’importance qu’on accorde à cette affaire puisqu’à partir d’une simple plainte éventuellement d’une seule personne, jugée… RapSit-USA2025 : La lawfare du pouvoir

Une stratégie-barrière contre l’Ennemi…

Une stratégie-barrière contre l’Ennemi… Nous pouvons désormais le clamer : l’affaire USS Theodore Roosevelt/capitaine de vaisseau Crozier est devenue une véritable, une très-grande crise, et une crise pour le Pentagone (Moby Dick) dans sa totalité. Il y a une remarquable unanimité des armes, au travers de l’intervention de divers chefs dont certains qui ne sont pas de l’US Navy, allant dans ce sens. Il faut mettre en évidence ce phénomène pour prendre la mesure de la chose : tout le monde, au Pentagone, dans les forces armées, se sent concerné par l’affaire USS Theodore Roosevelt/capitaine de vaisseau Crozier. Normalement, selon les habitudes bureaucratiques et les… Une stratégie-barrière contre l’Ennemi…

Vous avez bien dit: juillet 2011?

L’aspect le plus controversé du discours d’Obama du 1er décembre sur l’Afghanistan concerne la date-butoir du début du départ des troupes US d’Afghanistan. Il s’agit de juillet 2011, dans 18 mois. Ce délai correspond aux assurances des militaires US qu’avec 40.000 hommes de plus et leur nouvelle stratégie, il faudrait de 12 à 18 mois pour venir à bout des talibans. Le problème est que, à l’intérieur de l’administration Obama, on semble assez divers et même divergents dans l’interprétation de cette date de juillet 2011 et dans ce qu’elle signifie précisément en termes de décision. (Il doit être bien entendu par ailleurs que la simple… Vous avez bien dit: juillet 2011?

Vision stratégique réduite aux acquêts

On fait grand cas d’une intervention décidée de la direction des forces armées britanniques auprès des autorités civiles, à la suite du refus de Gordon Brown d’envoyer un contingent de 2.500 soldats (ceux qui sont retirés d’Irak) en Afghanistan, et de ne consentir qu’en l’envoi temporaire de quelques centaines d’hommes. The Independent publie ce 1er juin 2009 des informations exclusives à ce propos, de son correspondant Kim Sengupta. Le principal argument des chefs militaires britanniques auprès du Premier ministre Brown est qu’en n’agissant pas dans le sens qu’ils réclament, les Britanniques vont perdre leur crédit auprès des USA. «[T]hey have warned Number 10 that the… Vision stratégique réduite aux acquêts

Les 30.000 d’Obama, – pardon, de Mullen?

On sait désormais que le président du comité des chefs d’état-major (le JCS, ou Joint Chief of Staff), l’amiral Mullen, a des intentions précises pour ce qui concerne l’Afghanistan. Mullen a annoncé que les USA enverraient en Afghanistan, d’ici la mi-2009, 30.000 hommes de plus. C’est un renforcement théorique de 100% (actuellement, les USA déploient 32.000 hommes dans le pays). C’est évidemment considérable en terme d’intention stratégique. Cela justifie bien entendu de se demander si Mullen a l’accord d’Obama. …C’est ce que fait Robert Dreyfuss, dans The Dreyfuss Report, dans The Nation, le 23 décembre. Et la réponse semble bien être: oui, ce qui effraie… Les 30.000 d’Obama, – pardon, de Mullen?

Quel “renforcement”?

Les chiffres et les précisions diverses du renforcement annoncé par GW confirment une affirmation de Jim Miklaszewski, de NBC.News, reprise par le site Think Progress du 3 janvier : «an administration official admitted to us today that this surge option is more of a political decision than a military one.» Les précisions rapportées par AP ce 10 janvier montrent que le renforcement revient à des arrangements divers prolongeant certains déploiements ou en accélérant certains autres déjà prévus. Le total qu’on atteindra lorsque le renforcement sera achevé (153.500 hommes) sera à peu près équivalent à l’effectif déployé il y a deux mois (152.000 hommes) et inférieur… Quel “renforcement”?