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Rebatet

La route de la servitude (de La Boétie au micron)

La route de la servitude (de La Boétie au micron) Il n’y aurait pas besoin de théorie de la conspiration. Le peuple n’est pas un gentil innocent, une victime naïve. Le peuple, cette somme d’atomes agglomérés, de solitudes sans illusions (Debord) aime naturellement être mené à l’étable ou à l’abattoir. Telle est l’éternelle leçon de la Boétie qui s’extasie devant l’infinie capacité des hommes à s’aplatir devant l’autorité. Chouchou des libertariens et de notre cher Murray Rothbard, l’adolescent prodige s’écœure lui-même en écrivant ces lignes, en rappelant ces faits : « Il n’est pas croyable comme le peuple, dès lors qu’il est assujetti, tombe si… La route de la servitude (de La Boétie au micron)

Le grand remplacement à travers les âges

Le grand remplacement à travers les âges On va en fâcher quelques-uns. Mais cela ne fera pas de mal de distinguer le bon grain de l'ivraie et de cesser de fantasmer inutilement, à coups de Français de souche, de beaufs du dimanche ou de Séraphin Lampion ; car la réalité ordinaire du Français est celle-là. On va expliquer pourquoi maintenant ce culte du Français de souche nous gave, avec quelques auteurs un peu plus sûrs que Renaud Camus et les geignards de Fdesouche.com . Sur la question de l'immigration, Benjamin Stora a certainement plus raison que tous les experts fascisants réunis. On savait tous au… Le grand remplacement à travers les âges