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ramadi

De Faloujah-2004 à Faloujah-2014 : le spectacle de notre folie

Ainsi commence l’année 2014… Il y a près de dix ans, en fait en avril puis en novembre 2004, en deux séquences marquées par des provocations par ignorance, des erreurs grossières, des massacres froidement perpétrés avec l’emploi d’armes de hautes technologies, avec l’usage fameux pour ses effets biologiques à long terme des obus à uranium appauvri du canon GAU-8A de 30mm à six tubes de l’avion d’appui rapproché de l’USAF A-10A Thunderbolt II, les forces US avaient finalement investi la ville irakienne de Faloujah dont le contrôle leur échappait, comme dans une grande partie de l’Irak où des terrorismes extérieurs venaient prêter main-forte aux factions… De Faloujah-2004 à Faloujah-2014 : le spectacle de notre folie

Pas vraiment coordonné, tout ça

Quand on virtualise à mort, comme fait l’administration GW, on parvient à d’étranges contradictions. C’est ce que montre un reportage du Daily Telegraph du 4 décembre venu du reporteur Toby Harnden, depuis Ramadi (Irak) où se déroulent de violents combats. Harnden a interrogé les officiers américains qui commandent l’attaque. Les contradictions se portent sur plusieurs points qui ne sont pas sans intérêt. • La nationalité des insurgés qui se battent. Pour la Maison-Blanche, ils sont en majorité étrangers à l’Irak. « Of 1,300 suspected insurgents arrested over the past five months in and around Ramadi, none has been a foreigner. Col John Gronski, senior officer… Pas vraiment coordonné, tout ça