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Pyrrhus en lambeaux, épuisé…

Ce fut une victoire, on ne sait pour qui, et une victoire à la Pyrrhus où l’on ne sait qui, exactement, est Pyrrhus. Tout juste observe-t-on qu’il est épuisé, et déjà préparé à de nouvelles batailles, à de nouvelles épreuves. (Tout juste [bis] suggérerions-nous qu’après tout et après réflexion, dans une telle bataille, Pyrrhus en lambeaux, épuisé, ne saurait être que le Système lui-même.) Ainsi en est-il de la situation washingtonienne, où, même l’issue conjoncturelle d’un paroxysme d’une crise devenue structurelle et caractérisée par le désordre, est elle-même complet désordre. Encore la chose, l’accord sur la dette colossale du gouvernement, n’est-elle pas complètement bouclée puisqu’il… Pyrrhus en lambeaux, épuisé…

Après l’ambassadeur Freeman, l’amiral Blair?

Dans les suites de l’affaire de la décision de retrait du poste de président du National Intelligence Council de Charles Freeman, la thèse d’une victoire à la Pyrrhus du Lobby (l’AIPAC pro-israélien) fait de plus en plus d’adeptes. Aujourd’hui, sur Antiwar.com (et sur IPS), ce sont Daniel Luban et Jim Lobe qui y souscrivent, à partir d’une observation minutieuse des réactions diverses du monde de la communication US. «Although the successful campaign to keep Amb. Charles « Chas » Freeman out of a top intelligence post marked a surface victory for the pro-Israel hardliners who opposed him, the long-term political implications of the Freeman affair appear far… Après l’ambassadeur Freeman, l’amiral Blair?