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pritchard

Le D-Day de la Fed

L’extraordinaire impudence des chroniqueurs économistes, ultra-libéraux et pro-américanistes de type anglosphère, dans ce cas du quotidien Daily Telegraph, éclate dans leurs commentaires sur l’intervention des banques centrales extérieures, dont principalement, sinon essentiellement, la Federal Reserve, pour sauver l’Europe. Les deux chroniqueurs sont Jeremy Warner et Ambrose Evans-Pritchard qui peuvent, au moins pour un jour, déverser leur bile sur tout ce qui n’est pas anglo-saxon dans le bloc BAO, alors que tout ce qui est anglo-saxon dans le bloc BAO, de Wall Street à la City en passant par la Fed, porte à peu près 125% de la responsabilité technique de la catastrophe générale et que… Le D-Day de la Fed

La fascination de la crise

La fascination de la crise 27 décembre 2007 L’année finit en général sur une note brouillée lorsqu’il s’agit d’envisager l’évolution de la structure financière du monde. Le traditionnel optimisme des fêtes a du mal à s’exprimer spontanément. La crise veille, on parle de celle du système financier, bancaire, de crédit, etc. Surtout, elle est tapie au fond des psychologies. Les analyses de la situation sont en général maussades à très pessimistes. Lorsque l’analyse s’élargit à l’enquête, le pessimisme très noir domine et s’avance jusqu’à l’apocalyptique. C’est le cas d’une longue analyse de Ambrose Evans-Pritchard le 23 décembre dans le Daily Telegraph. Evans-Pritchard est un analyste… La fascination de la crise