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RapSit-USA2021 : paralysie vertueuse & frontière en feu

RapSit-USA2021 : paralysie vertueuse & frontière en feu Il y a deux aspects caractérisant l’évolution de la situation aux USA. Elles sont toutes deux catastrophiques et témoignant de l’évolution, à la vitesse d’un incendie, des facteurs galopants de la structure crisique. La rapidité du naufrage et de la désintégration de l’administration crisique est impressionnante. Pour autant, bien entendu, nous ne jugerons pas dommageables ces prolongements, puisque le pouvoir en place et les actes publics sont ceux du système de l’américanisme, donc du Système. Ce qui reste et se confirme, et se renforce, c’est la rapidité du processus catastrophique sous la maîtrise originale de Joe Biden.… RapSit-USA2021 : paralysie vertueuse & frontière en feu

RapSit-USA2021 : paralysie vertueuse & frontière en feu

RapSit-USA2021 : paralysie vertueuse & frontière en feu Il y a deux aspects caractérisant l’évolution de la situation aux USA. Elles sont toutes deux catastrophiques et témoignant de l’évolution, à la vitesse d’un incendie, des facteurs galopants de la structure crisique. La rapidité du naufrage et de la désintégration de l’administration crisique est impressionnante. Pour autant, bien entendu, nous ne jugerons pas dommageables ces prolongements, puisque le pouvoir en place et les actes publics sont ceux du système de l’américanisme, donc du Système. Ce qui reste et se confirme, et se renforce, c’est la rapidité du processus catastrophique sous la maîtrise originale de Joe Biden.… RapSit-USA2021 : paralysie vertueuse & frontière en feu

Congrès vs MbS : une longue rancune

Congrès vs MbS : une longue rancune Depuis octobre 2018 et l’affaire Khashoggi, le Congrès US poursuit l’Arabie et son nouveau pseudo-roi MbS d’une rancune tenace qui s’est fixée sur la controverse de l’action épouvantable des Saoudiens contre les rebelles yéménites et de la participation des USA à cette action. Ce qui est remarquable, effectivement, c’est la durée de ce qu’on aurait pu apprécier au départ comme une posture tactiqueavec comme seul but, notamment dans le chef des démocrates, de porter une attaque personnelle de plus contre Trump. Même les arguments de l’engagement iranien auprès des rebelles houthis, contre l’Arabie, n’obtiennent qu’un écho très modéré… Congrès vs MbS : une longue rancune

Confluences Watergate-Benallagate

Confluences Watergate-Benallagate Il est intéressant de rechercher si l’affaire >Benallagate< avec ses suites (l'affaire DisinfoLab, etc.) répond à un schéma classique des crises politiques ou bien s’il s’agit d’un simple incident du aux conditions exceptionnelles d’une élection, au caractère et à l’ambition de l’élu, aux conditions générales d’un pays spécifique et évidemment en crise (comme toute structure institutionnelle dans la crise générale qu’on traverse aujourd’hui), etc. S’agit-il d’une crise qui a déjà son modèle ou s’agit-il d’une crise >accidentelle< encore difficile à comprendre ? En lisant l’analyse ci-dessous de Jacques Sapir, toujours incliné à chercher une approche institutionnelle, on peut pencher pour la première hypothèse… Confluences Watergate-Benallagate

Bienvenu, 9/11

La chronique de la confirmation de l’opportunité de l’attaque du 11 septembre 2001 ne cesse de se renforcer. C’est le cas ici, avec les déclarations d’un spécialiste de droit constitutionnel au-dessus de tout soupçon, le professeur Turley, de l’université Georges Washington. Il était interrogé le 15 octobre, lors de l’émission Countdown Monday, du redoutable (pour l’équipe Bush) Keith Olbermann, de CNBC. RAW Story rapporte la chose le 16 octobre. »This administration was seeking a massive expansion of presidential power and national security powers before 9/11. 9/11 was highly convenient in that case, George Washington University law professor Jonathan Turley told Keith Olbermann on Countdown Monday… Bienvenu, 9/11

La Chambre des Représentants va voter pour imposer l’autorisation du Congrès à la guerre contre l’Iran

La Chambre des Représentants va voter sur une résolution introduite par le républicain anti-guerre Walter Jones et cinq autres parlementaires. Si cette législation est votée, ce sera un pas décisif du Congrès pour reprendre le contrôle de la politique étrangère, comme il l’avait fait en 1972 (analogie du Vietnam) avec le vote sur les pouvoirs de guerre, conditionnant à son autorisation toute action de guerre en Asie du Sud-Est. Dans tous les cas, il s’agit d’un signe de plus de la radicalisation du Congrès contre l’action de l’administration GW Bush. Quelques précisions selon AFP : «Supporters said the legislation would prevent the United States from… La Chambre des Représentants va voter pour imposer l’autorisation du Congrès à la guerre contre l’Iran