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Philippe Grasset et le mystère de Verdun

Philippe Grasset et le mystère de Verdun Si nous avions dit que l'apocalypse avait commencé à Verdun… – René Girard Cent ans de Verdun cette année. Et si nous évoquions Verdun ? En évitant le stéréotype et en tentant de décrypter l'archétype qui se dégage du champ de bataille le plus terrible de l'Histoire ? Dans un livre lourd de pensées et de photographies (1), les Ames de Verdun, où il donne libre cours à son lyrisme savant de philosophe, l'historien Philippe Grasset nous propose une réflexion métaphysique sur Verdun, enluminée par les images noir et blanc de Michel Castermans et Bernard Plossu. Evoquer Verdun… Philippe Grasset et le mystère de Verdun

Journal de bord de dedefensa.org, — 080922, Les âmes de Verdun en souscription

22 septembre 2008 Voici une offre qui doit retenir toute votre attention. Nous offrons l’achat en souscription d’un album photographique d’une exceptionnelle tenue: Les âmes de Verdun, avec des photos de Bernard Plossu et Michel Castermans, et un texte de Philippe Grasset. (Par ailleurs, dans notre rubrique Extraits, vous pouvez lire à cette même date du 22 septembre un extrait du texte des âmes de Verdun.) Il s’agit d’un projet photographique, littéraire et historique pour offrir une interprétation nouvelle de la bataille de Verdun. Il présente, à notre sens, le mariage exceptionnel d’une synthèse esthétique et intellectuelle sur la bataille de Verdun. Dans cette appréciation,… Journal de bord de dedefensa.org, — 080922, Les âmes de Verdun en souscription

Verdun, ou la répétition générale

[…] Avec la bataille de Verdun, en vérité, ils entrèrent, secoués par un fracas épouvantable, accablés de souffrances indescriptibles, dans le vrai conflit de nos temps historiques et modernistes. Est-ce donc cela, cette bataille qui n’a pas de sens ? Paul Valéry, dans son discours de réception du maréchal Pétain à l’Académie française, en 1931, marqua son extrême compréhension de ce que fut la bataille, lorsqu’il parla d’«une guerre toute entière insérée dans la Grande Guerre». En avril 1919, il avait conceptualisé par avance son propos, dans sa Crise de l’esprit, que tous nous retenons pour sa première phrase fameuse («Nous, civilisations, nous savons maintenant… Verdun, ou la répétition générale