Aller au contenu

piégée

“Toc, toc”, la crise frappe à la porte

Toc, toc, la crise frappe à la porte 24 juillet 2010 L’explosion le 15 juillet d’une voiture piégée à Ciudad Juarez, la ville dont le gouvernement mexicain a laissé le contrôle aux affrontements des cartels de la drogue, marque peut-être, sans doute, un tournant dans l’affrontement en cours au Mexique. Si c’est le cas, nous passons à la perspective, à laquelle nous sommes attentifs d’une façon très insistante, d’une situation de guerre type G4G. Cette hypothèse est comparée, dans une analyse de Reuters du 23 juillet 2010 (voir aussi Ouverture libre du 24 juillet 2010), soit au cas colombien de plusieurs décennies du siècle dernier,… “Toc, toc”, la crise frappe à la porte

Le Mexique vers la guerre (G4G) ?

Le Mexique vers la guerre (G4G) ? Une analyse de Julian Cardona, de Reuters, du 23 juillet 2010 envisage que l’explosion d’une voiture piégée à Ciudad Juarez, le 15 juillet, peut constituer un tournant vers la transformation de l’affrontement gouvernement-cartels de la drogue en un véritable conflit. Bien entendu, il sera question d’une guerre type-G4G. «A deadly car bomb last week in this violent border city may mark a turning point in Mexico’s bloody drug war as powerful smuggling cartels stage ever more bold and elaborate attacks. [] »The explosion suggests the cartels, which have typically used assault rifles and grenades to knock off rivals… Le Mexique vers la guerre (G4G) ?

L’empire prisonnier de lui-même et sa psychologie épuisée

La situation à Washington est caractérisée par deux choses essentielles: une situation politique d’antagonisme verrouillée, sans possibilité d’un vainqueur, donc d’une décision ; et une psychologie de plus en plus épuisée, autant par la pression de la guerre que par cette situation d’emprisonnement par soi-même. Une analyse de Peter Baker, du Washington Post (reprise sur MSNBC.MSN.com, le 13 juillet) rend bien compte de cette situation qui n’a aucun précédent dans sa forme et dans son intensité. Bien entendu, la position de GW Bush, son attitude inflexible, en est le nud («Yet no matter how battered he seems, no matter how unpopular he may be in… L’empire prisonnier de lui-même et sa psychologie épuisée