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Pelosi et son bras d’honneur au “decision-maker

Contentons-nous de compter les coups d’une situation surréaliste dans tous les actes qui la caractérisent. Surréalisme globalisé, surréalisme américanisé, surréalisme irakisé et surréalisme à Washington, et ainsi de suite tout aussi surréaliste ; et, bien entendu parce que c’est le plus d’entre tous, un président US complètement surréaliste lui-même, qui aurait fait le bonheur d’un Salvador Dali, qui aurait apprécié le trrrès intérrressant comporrrtement déstrrructurrrantissime de ce surrréalistique prrrrésident amérrricanistique. Alors, Pelosi s’y met. Alors que GW Bush croit ravir la vedette du monde aux abois pour de nouvelles informations, alors qu’il reçoit les chefs militaires à la Maison-Blanche, Madam Speaker, accompagnée de son vieil… Pelosi et son bras d’honneur au “decision-maker

Le mauvais esprit et l’“esprit de la loi”, ou la crise institutionnelle dans toute son horreur

Le mauvais esprit et l’esprit de la loi, ou la crise institutionnelle dans toute son horreur 8 janvier 2007 Washington est dans un de ces moments dangereux, lorsque l’équilibre des forces est en plein renversement, lorsque la loi n’existe plus que par l’interprétation qu’on en fait. L’esprit de la loi triomphe, et les dangers sont grands si le mauvais esprit s’impose, c’est-à-dire la mauvaise volonté, la spéciosité, la chicanerie dans le domaine du légalisme, etc. La situation est exceptionnelle pour différentes raisons qui conduisent au triomphe de la défiance, du soupçon, de l’acrimonie, de la rancur. Le rappel du cheminement des positions des deux pouvoirs… Le mauvais esprit et l’“esprit de la loi”, ou la crise institutionnelle dans toute son horreur

Perfect Storm”, sans nul doute

Perfect Storm, sans nul doute 10 novembre 2006 Est-il utile de détailler les tonnes d’articles sur le même thème, comme pour répondre à une consigne générale qui est en fait une tentative de survie par l’incantation? Il suffit de reprendre l’article du Monde du 9 novembre, qui est en fait une revue de presse, sous le titre : «Après la victoire des démocrates, les Etats-Unis doivent faire l’expérience d’un bipartisme renouvelé». Il suffit alors de traduire : panique à bord. Quelques extraits du texte, assez court par ailleurs tant les lignes de force sont évidentes, sans qu’il ait été nécessaire de donner des consignes. On… Perfect Storm”, sans nul doute