Les bons comptes font les bons “juges”
Les bons comptes font les bons >jugessecondairesindépendante< car nul ne le serait à moins. La crise-GJ met avec une grande brutalité en évidence l'extraordinaire servilité de la justice française tout-à-fait->indépendante< vis-à-vis du pouvoir. Elle prolonge et entérine le bien-fondé vertueux de la répression policière dont sont l'objet les GJ, qui nous paraît sans réel précédent dans l'ampleur, la durée, le systématisme. (Le précédent de la guerre d'Algérie, souvent cité, est un exemple déplacé tant la différence du contexte, des circonstances, des causes et des effets est grande, – ne serait-ce que parce qu'il y avait >guerrejustice quantitative