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The Obama/Bush Foreign Policy: Why Can't America Change?

L'Amérique peut-elle changer ? On a vu très récemment (le 19 janvier 2011) les effets explosifs d’une intervention de Seymour Hersh au Qatar, le 18 janvier. Cette intervention a continué et continue à susciter des commentaires divers (voir par exemple le texte de RAW Story, du 22 janvier 2011). L'un des points de contestation et de polémique se trouve dans le passage où Hersh met en cause un certain nombre de chefs militaires US, pour leur appartenance à ou leur proximité d’organisations telles que les Chevaliers de Malte et l’Opus Dei, et pour leur >fondamentalisme< chrétien et anti-musulman. Nous avons pensé qu’il était intéressant de… The Obama/Bush Foreign Policy: Why Can&#39;t America Change?

A la recherche d’un “angry black man

A la recherche d’un >angry black manAlors que nous avions besoin d’un Noir en colère, nous avons eu le contraire…Just when we needed an angry black man,< he began, his arm perched jauntily on the podium, >we didn't get one.Cheney-Bush years< and saw little difference between that period and the Obama administration. »He said that he was keeping a >checklist< of aggressive U.S. policies that remained in place, including torture and >rendition< of terrorist suspects to allied countries, which he alleged was ongoing. He also charged that U.S. foreign policy had been hijacked by a cabal of neoconservative >crusaders< in the former vice president's office… A la recherche d’un “angry black man

L’Opus Dei exulte

Rarement que dans cet article de Paul Fortunato on a mieux exprimé la satisfaction de l’Opus Dei après le succès phénoménal du film Da Vinci Code et l’avalanche paradoxale de critiques (laïques bien plus par le nombre que d’origine religieuse) qui l’a accompagné. Cette critique touche rétrospectivement le contenu du livre et met complètement en cause le contenu essentiel des deux uvres (le film et le livre), c’est-à-dire l’attaque à très gros sabots contre l’Opus Dei. Paul Fortunato est professeur d’anglais à l’Université de Houston-Downtown, au Texas, et membre de l’Opus Dei. Ainsi exprime-t-il clairement cette satisfaction dans un article dans le New York Times… L’Opus Dei exulte