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… Car c’est en simulant (suite)

… Car c’est en simulant (suite) Effectivement, nous proposons cet emprunt pour poursuivre la saga des >simulants< producteurs de simulacres dans la financiarisation, dont on a vu le premier chapitre, du même et talentueux site WSWS.org, qui n’a comme seule faiblesse que d’être trotskiste, mais qui se distingue par ailleurs par la clarté et la justesse de ses exposés, notamment économiques et financiers. Effectivement encore, ces >simulants< font partie du monde de la finance, extraordinaire simulacre de style-Ponzi constitué d'une accumulation de sous-simulacres réalisés avec un zèle non-simulé par les ultra-riches gangstérisés, les Gangsters of the Universe, ou encore pour paraphraser Luongo, the Sing-Sing Crowd.… … Car c’est en simulant (suite)

Du “pire des scénarios” au chaos…

Du >pire des scénarios< au chaos... Il s’agit sans le moindre doute, – nous dirions plus loin pour quelles raisons principales selon nous, – d’un exercice de planification théorique : quel serait le pire des scénarios d’un affrontement direct entre les USA et l’Iran dans les circonstances présentes, avec les forces disponibles pour les deux adversaires ? Il ne fait aucun doute que les USA sont militairement plus puissants que l’Iran mais ils ont deux handicaps majeurs : • Leurs forces sont moins souples, moins adaptables, moins habiles à la >guerre hybride< (même au plus haut niveau, on peut envisager une >guerre hybrideun des pires… Du “pire des scénarios” au chaos…

L’“option nucléaire”? «I do not object…»

L’option nucléaire? «I do not object…» Daniel McAdams est directeur délégué du Ron Paul Peace Institute. Parlementaire à la Chambre des Représentants pendant 12 ans, au côté de Ron Paul, McAdams connaît parfaitement l’ontologie de la machine washingtonienne., le Système régnant à Washington, la façon dont fonctionne le Congrès, le niveau d’information incroyablement bas de ces parlementaires qui tiennent une partie du pouvoir de la plus déstructurante et destructrice puissance du monde, etc. Interviewé par Russia Today le 19 décembre 2014, McAdams explique le sens de cette loi votée dans les conditions surréalistes de 3 voix exprimées contre 0 (unanimous consent), telles que nous les… L’“option nucléaire”? «I do not object…»

Les USA face à l’Ukraine : Not our business

Les USA face à l’Ukraine : Not our business 12 mars 2014 – Avec une enquête du PEW Research Center effectuée les 6-9 mars, on dispose d’une >photographie< extrêmement précise de l'attitude du public US face à la crise ukrainienne. Il s'agit d'un sentiment totalement isolationniste, c'est-à-dire d'un sentiment subjectif qui ne s'embarrasse pas de considérations objectives pour déterminer quelle politique les USA doivent suivre. En effet, les deux résultats les plus remarquables sont d'une part que 92% des personnes interrogées sont défavorables à une implication militaire des USA, tandis que 68% des personnes interrogées ayant exprimé une opinion condamnent la politique russe qu'elles assimilent… Les USA face à l’Ukraine : Not our business

Le Système face au doomsday scenario de Snowden

Le Système face au doomsday scenario de Snowden Il y a un facteur de poids, à la fois mystérieux et explosif, qui revient avec régularité au travers des réseaux d’information, en général par le parcours classique des fuites manipulées par ceux qui les font (des milieux proches du renseignement, de la NSA et du GCHQ britannique), concernant ce que les personnes impliquées nomment le doomsday scenario d’Edward Snowden dans la crise Snowden/NSA. (Doomsday scenario, pour scénario-catastrophe, mais avec une nuance apocalyptique, au sens fort du mot. Le mot doomsday fut et reste largement utilisé pour désigner l’occurrence effectivement apocalyptique, avec une dimension eschatologique sinon métaphysique,… Le Système face au doomsday scenario de Snowden

Snowden décidément plus fort que la NSA

Snowden décidément plus fort que la NSA On sait qu’il n’y a pas de question de plus grand intérêt, dans la crise Snowden/NSA, que celle de savoir si la NSA sait ou ne sait pas ce que Snowden a emporté de ses secrets. C’est ce que nous nommons la question nucléaire ou l’hypothèse nucléaire (voir notamment le 15 juillet 2013 et le 21 août 2013). Des éléments nouveaux sont apparus à ce propos dans une analyse d’Associated Press (AP) du 24 août 2013, renforçant un peu plus la thèse selon laquelle Snowden est décidément plus fort que la NSA. C’est effectivement dans ces termes «If… Snowden décidément plus fort que la NSA

JSF : “toutes les options sont sur la table”

La Brookings Institution est un monument de la pensée stratégique de l’establishment de Wasshington et Michael O’Hanlion est l’un des gardiens de ce temple. Aussi sa prise de position, sur laquelle Stephen Trimble de DEW Line (Flight International ) attire notre attention ce 7 décembre 2010, est particulièrement importante. Trimble note : «Brookings Institution senior fellow Michael O’Hanlon has jumped on the bandwagon fired up by the US deficit reduction panel, which last month recommended eliminating the Lockheed Martin F-35 and BellBoeing V-22. »O’Hanlon today published a policy paper titled Defense Budgets and American Power, which contains a wide range of cost-reduction ideas that largely… JSF : “toutes les options sont sur la table”

Désamour nucléaire et confusion de destruction massive à Lisbonne

Les points divers de désaccord au sommet de l’OTAN à Lisbonne, aujourd’hui et demain, ne manquent pas. Vous y décompterez la question de la position de la Turquie vis-à-vis des anti-missiles, et vis-à-vis de l’Ouest en général ; la question des anti-missiles, justement, avec en toile de fond bariolée celle des suspicions russes sur les anti-missiles, celle, plus générale, des rapports de l’OTAN et de la Russie, tout cela, sur fond encore plus bariolé d’accord START-II cahotant ; la question absolument récurrente de l’Afghanistan, qui sert de chronique dépressive de l’Alliance depuis quelques années Ajoutons-y la nouvelle querelle franco-allemande sur le nucléaire, qui ne manque… Désamour nucléaire et confusion de destruction massive à Lisbonne

Le système de la communication et le oil spill

La crise du oil spill du Golfe du Mexique est désormais dans une phase dite de vitesse de croisière. Cela ne veut nullement dire qu’elle est étouffée, comme c’est souvent le cas après les éclats initiaux d’une crise, parce qu’elle a la caractéristique fondamentale de la durée. Elle est donc intégrée puissamment dans la structure crisique. Le point qui nous intéresse ici, appuyé sur les informations présentées dans Ouverture libre, ce même 3 juillet 2010, est le comportement du système de la communication vis-à-vis de la crise, avec les effets de relance possible, sinon probable, de la crise. Comme on le voit, deux axes (deux… Le système de la communication et le oil spill

Le “oil spill” sur deux fronts

Le oil spill sur deux fronts Actuellement, on trouve deux centres d’intérêt pour le développement de l’information à propos de la catastrophe de la station Deepwater Horizon du Golfe du Mexique. D’une part, un courant de spéculation, déjà mis en évidence par des déclarations de Bill Clinton le 30 juin 2010 sur les moyens radicaux de tenter de boucher la fuite de pétrole par une explosion sous-marine massive. Reuters publie une analyse importante sur l’extrême de cette hypothèse, qui est l’option nucléaire, le 2 juillet 2010. Elle est axée sur une interview du Soviet psysicist veteran Viktor Mikhailov, qui affirme que l’URSS a réussi, sous… Le “oil spill” sur deux fronts

Bill Clinton, le oil spill et l’option nucléaire

Bill Clinton, le oil spill et l’option nucléaire RAW Story (le 29 juin 2010) relève des remarques de Bill Clinton, ce week-end, lors d’une interview télévisée en Afrique du Sud. Clinton y parle de la nécessité d’une intervention violente pour boucher la fuite de pétrole du oil spill, par explosion. Il discute l’option nucléaire (l’emploi d’une petite bombe nucléaire) déjà évoquée ici et là, et s’y montre plutôt défavorable. Pour Clinton, il s’agit de la nécessité d’une intervention des forces armées US pour reprendre en main la crise, qui est actuellement sous le contrôle de BP. On peut envisager que Clinton parle à partir de… Bill Clinton, le oil spill et l’option nucléaire

Les doutes profonds de McChrystal

Contrairement à l’interprétation officielle dans les institutions européennes, en général fort inconsistante par rapport à la réalité de la situation, des sources proches de ces institutions citent des estimations extrêmement pessimistes sur la situation en Afghanistan. L’idée générale est que, désormais, failure is an option (expression codée pour exprimer qu’un échec, ou une défaite si l’on veut, est désormais possible). On cite également des contacts informels avec le général McChrystal, exprimant le désarroi du commandant en chef du théâtre d’opération. Ces sources citent des estimations faites par des fonctionnaires en poste en Afghanistan, dans des positions permettant d’apprécier la situation d’une façon réaliste. En général,… Les doutes profonds de McChrystal

L’imbroglio START-II et l’“option nucléaire” pour la Russie

Parmi les divers textes qui ont accompagné et accompagnent la signature du traité START-II, nous citons un texte d’analyse de Hugo Natowicz, de Novosti, du 6 avril 2010. Loin d’éclaircir le débat et le sens de ce traité, l’analyse est en sens aussi nébuleuse que le titre («START: poignée de main ou bras de fer?»). Ce qui nous intéresse est la conclusion, surgissant comme le fait épisodiquement le monstre du Loch Ness ou un poisson d’avril, mais qui présente finalement un intérêt certain à la lumière d’une interprétation qu’on en peut faire. Après avoir examiné les divers aspects contradictoires de la position russe dans la… L’imbroglio START-II et l’“option nucléaire” pour la Russie

Le BMDE en Europe? A peine “une option parmi d’autres”

On a enfin une déclaration officielle de l’administration Obama sur le statut officiel du réseau anti-missiles en Europe (BMDE) dans le cadre de la politique de cette administration. Elle vient de l’adjoint au secrétaire à la défense, William Lynn, le 16 juin 2009 (AFP, via Defense News), devant la commission sénatoriale des forces armées. Cette déclaration marque un très net recul par rapport à la position de l’administration Bush. Le déploiement du système BMDE en Pologne et en Tchéquie n’est plus qu’une option parmi d’autres, une des options parmi celles qui sont considérées. (Les autres étant l’abandon pure et simple, la substitution d’un autre système,… Le BMDE en Europe? A peine “une option parmi d’autres”

Pour suivre l’“option nucléaire” : comment la Chine ne veut pas d’attaque contre l’Iran

Enchaînant sur l’hypothèse de l’option nucléaire évoquée par la Chine contre le dollar (voir sur notre Forum, l’article du Daily Telegraph de Ambrose Evans-Pritchard signalé par notre lecteur Tu Quoque), Paul Craig Roberts, qui s’intéresse beaucoup aux activités chinoises, évoque les moyens de pression dont les Chinois disposent désormais sur la politique extérieure US. Pour Craig Roberts, l’option nucléaire doit notamment permettre à la Chine d’exercer une réelle menace de priver l’administration GW Bush des moyens de poursuivre ses entreprises guerrières, et, encore plus, d’espérer en entreprendre de nouvelles, comme une attaque contre l’Iran. Craig Roberts imagine donc qu’il existe un lien indirect mais précis… Pour suivre l’“option nucléaire” : comment la Chine ne veut pas d’attaque contre l’Iran