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Du suprémacisme de la bêtise

Du suprémacisme de la bêtise 18 février 2022 (06H40) – Il est vrai qu’on peut penser sans réellement chercher la petite bête, que la politique étrangère britannique, essentiellement ici pour la subcrise ukrainienne, brille par son étonnant illogisme, voire son nihilisme, – voire si je veux briller par mon vocabulaire, – son auto-néantisation. Mais pourtant… Je découvre un autre qualificatif de cette politique, pas de mon chef mais dans celui d’un excellent historien et commentateur, le professeur John Laughland : la bêtise, qu’il a la sagesse de placer au-dessus des conspirations sans nombre qui ne cessent de peser sur notre dialectique… Voici ce qu’il dit… Du suprémacisme de la bêtise

Du suprémacisme de la bêtise

Du suprémacisme de la bêtise 18 février 2022 (06H40) – Il est vrai qu’on peut penser sans réellement chercher la petite bête, que la politique étrangère britannique, essentiellement ici pour la subcrise ukrainienne, brille par son étonnant illogisme, voire son nihilisme, – voire si je veux briller par mon vocabulaire, – son auto-néantisation. Mais pourtant… Je découvre un autre qualificatif de cette politique, pas de mon chef mais dans celui d’un excellent historien et commentateur, le professeur John Laughland : la bêtise, qu’il a la sagesse de placer au-dessus des conspirations sans nombre qui ne cessent de peser sur notre dialectique… Voici ce qu’il dit… Du suprémacisme de la bêtise

Coup d’œil sur le JSF : Catastrophique et faussaire as usual

Coup d’il sur le JSF : Catastrophique et faussaire as usual Nous parlons moins du JSF, parce que d’autres crises prennent sa place et qu’il s’inscrit lui-même dans la crise plus vaste et à son point de fusion, qui est celle du Pentagone. Comme nous le signalions le 5 août 2013, il y a, selon nous, une complète intégration de la crise du JSF dans la crise du Pentagone, effectivement parvenue à maturation avec le phénomène baroque de la séquestration : «Pour notre propos, on comprend que cette situation, désormais de plus en plus clairement identifiée, intègre complètement la crise du JSF dans la crise… Coup d’œil sur le JSF : Catastrophique et faussaire as usual

La baronne Ashton est-elle l’otage du Foreign Office ?

Il y a déjà eu des rumeurs de démission de la baronne Ashton, qui dirige la diplomatie et la sécurité européenne dans le nouvel organigramme de UE née du Traité de Lisbonne. Ashton, en général, n’est guère passionnée par sa fonction, dit-on. Sa situation représente un cas peu ordinaire et, dans ses rapports indirects avec le Foreign Office, il s’agit d’une illustration convaincante de la situation britannique en général. La réputation de la baronne Ashton est déjà bien établie. C’est clairement une réputation d’incompétence, mais est-ce un reproche à lui faire? Elle l’a jamais cherché à avoir le poste qu’elle occupe, y a été pratiquement… La baronne Ashton est-elle l’otage du Foreign Office ?

Le bateau ivre anglo-saxon

Qui commande aux Etats-Unis, GW Bush? Qui commande au Royaume-Uni, Tony Blair? Réponses douteuses dans les deux cas. L’Irak est en train de réduire en lambeaux la stabilité et la maîtrise tant vantées des deux régimes anglo-saxons. The fact of the matter, comme ils disent, est qu’une fièvre de panique s’est emparée des deux establishments. En cause, une seule question : comment se sortir d’Irak, et vite? Aux USA, la recherche d’une stratégie de sortie prend des allures frénétiques. Le plus intéressant, au travers de ces nouvelles, est de découvrir que, de plus en plus, les deux pays fonctionnent avec des structures parallèles qui coopèrent… Le bateau ivre anglo-saxon

L’hypothèse Straw versus Blair

Un article du Financial Times met en évidence la force et la véhémence du ton du secrétaire au Foreign Office Jack Straw pour nier la validité de l’article de Seymour Hersh et pour juger inconcevable l’idée d’une attaque contre l’Iran. Pour le FT, il s’agit d’un signe convaincant de l’opposition entre Straw et Blair, le premier étant de plus en plus adversaire d’une position dure contre l’Iran, à l’inverse du second. « Jack Straw yesterday used his toughest language yet to rule out any military strike against Iran, highlighting the growing divide on the issue between the Foreign Office and Downing Street. The reason why… L’hypothèse Straw versus Blair

Pourquoi les Britanniques se sont-ils trompés en janvier-mars 2003? — Iraq post mortem

Pourquoi les Britanniques se sont-ils trompés en janvier-mars 2003? Ci-dessous, nous présentons une analyse de Charles Grant, publiée dans Prospect Magazine, sur un aspect bien particulier des événements : l’attitude du Royaume-Uni en janvier-mars, pour faire voter une deuxième résolution à l’ONU autorisant l’attaque de l’Irak. Observé selon un oeil sympathique mais lucide (et même désolé, si l’on peut dire ça d’un oeil), exposé dans des termes mesurés et amicaux, c’est l’exposé d’un formidable échec conceptuel d’un des plus brillants appareils diplomatiques du monde, celui du Royaume-Uni, bien entendu. [D’abord un mot de Charles Grant, Directeur du Center for European Reform. D’un certain point de… Pourquoi les Britanniques se sont-ils trompés en janvier-mars 2003? — Iraq post mortem

Diplomatie “orwellienne”

Diplomatie orwellienne 8 janvier 2003 Des échos d’une réunion, les 6 et 7 janvier, du gouvernement britannique (Blair et Straw) avec quelques 150 ambassadeurs britanniques réunis au Foreign Office, apportent des lumières sur la diplomatie britannique dans la crise actuelle. Il s’agit d’un constat particulièrement intéressant pour mesurer cmment évolue une des principales diplomaties occidentales, dans l’environnement d’une crise extrêmement pressante et inhabituelle. Le Guardian en fait à la fois un rapport et une présentation, notamment sur les buts poursuivis par la politique extérieure du Royaume-Uni. Pour la première fois de façon formelle, la question du pétrole (la sécurité de l’accès aux sources d’énergie) est… Diplomatie “orwellienne”

Bombe à retardement

Bombe à retardement 8 janvier 2003 Pour compléter l’autre F&C de ce même jour consacré aux affaires britanniques, un autre aspect du discours de Tony Blair devant ses ambassadeurs, le 7 janvier, est présenté comme très important. C’est un discours qui est présenté (par le Guardian, toujours) comme « a reality check over Iraq », dans un commentaire qui fait le constat d’une réelle défaite essuyée par le premier ministre. « Tony Blair may be winning some of his battles with the Bush administration over Iraq, but he is certainly losing the political war on the home front. The prime minister’s speech to British ambassadors… Bombe à retardement