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Effondrement sur celluloïd

Effondrement sur celluloïd 28 décembre 2023 (16H55) –Il y a quelques temps assez courts, un lecteur attirait notre attention, – et même mon attention propre, – sur le film ‘Le monde après nous‘ (‘Leave the World Behind‘), très récemment sorti sur Netflix, comme production Netflix. C’était le 19 décembre sur le forum du texte du 18 décembre : « Dans la même veine que Don't Look Up qui vous avait inspiré, vous devriez regarder d'urgence le film Le Monde après nous (Leave the World Behind), produit par… Barak et Michèle Obama. » Film apocalyptique (encore) truffé de messages subliminaux… » Petite erreur sans gravité :… Effondrement sur celluloïd

Bien entendu, – “le pire” est à venir…

Bien entendu, – >le pire< est à venir... Covid-19 ne résume pas la crise à lui tout seul, tant s’en faut. Les crises dites->collatéralesperfect storm< pour employer l'expression anglo-américaniste, ou si l'on veut le >tourbillon crisiquetourbillon crisiquegrain de sable divin< d'une facture impeccable et implacable. Par conséquent, les avis s'accumulent, de tous les commentateurs de l'univers financier, plus ou moins visionnaires, plus ou moins célèbres, et tous convergent bien sûr vers la même conclusion. Exemplaire de cet état d’esprit, l’un des plus fameux d’entre tous les gourous financiers, Jim Rogers, 77 ans : « Les gouvernements du monde entier tentent d’arrêter la propagation du virus… Bien entendu, – “le pire” est à venir…

14-18 en diagonale

14-18 en diagonale J’ai acquis à mesure des années passées une perception de plus en plus vive, et aussi de plus en plus chaleureuse et tragique de la Grande Guerre ; une perception gouvernée par une empathie de l’âme qui va jusqu’à l’irrésistible et au sublime ; une perception mesurée par le temps, comme si, en m’éloignant de l’événement terrestre, le temps qui passe me rapprochait de sa substance spirituelle. L’intuition, l’émotion, la compassion extraordinaire que j’éprouve devant tant d’horribles souffrances tiennent une place considérable dans cette perception, que la raison ne dément pas une seule seconde. Chaque fois que je regarde la fin de… 14-18 en diagonale

“Le mot qui met de l’ordre dans le désordre”

>Le mot qui met de l’ordre dans le désordrefonction< est bien une >mission< dans le sens profond de la chose, intuition là aussi, dans la mesure où la description qu'elle nous donne joue honnêtement et loyalement son rôle d'influence à ciel ouvert ; parce qu'encore j'ai la conviction que la présentation d'une telle influence pour ce qu'elle est joue son rôle dans l'évolution des perceptions et des jugements ; parce qu'encore et enfin, j'ai la conviction qu'en l'absence de réalité empêchant toute observation expérimentale, c'est de cette façon qu'on peut tout de même jouer un rôle en faisant progresser une pression bénéfique sur l'ensemble des… “Le mot qui met de l’ordre dans le désordre”

Appel à votre soutien pour le court mois de février

Appel à votre soutien pour le court mois de février Chaque jour s’accumulent les signes que la presse-antiSystème joue ce rôle grandissant que nous lui reconnaissons depuis longtemps, alors que la presse-Système se réduit à son formidablement enfermement, à son extraordinaire banalité de conformisme à la narrative. (Les signes de cette évolution de manquent pas, du côté de l’importance de la presse-antiSystème. Voyez le 19 février 2015, voyez l’installation météorite au premier rang des informations antiSystème d’un site vieux d’à peine six mois comme Russia Insider, le 22 février 2015.) Tout cela se fait alors que cette époque crisique continue sa marche furieuse et catastrophique,… Appel à votre soutien pour le court mois de février

Chronique du 19 courant… Désamour du monde

Chronique du 19 courant Désamour du monde 19 octobre 2013… J’aime bien la télévision, et aussi le cinéma de notre époque qu’on y voit, cela nullement par affection ni estime pour ces deux activités, là n’est pas le débat, mais parce qu’ainsi je dispose d’un outil de reconnaissance du spectacle du monde et ce qu’en dit son compagnon illustratif qu’est le cinéma, sans pour autant me compromettre, en aucune façon, ni avec l’un ni avec l’autre, ni avec ce monde-là, et ainsi faire mon travail de veilleur de nos tourments sans tomber dans les rets de l’objet évident de mon guet. C’est dire combien ce… Chronique du 19 courant… Désamour du monde