Aller au contenu

nixon

Plamegate versus Watergate

Plamegate versus Watergate 30 octobre 2005 — Il est intéressant de comparer les réactions européennes à l’actuel scandale qui secoue Washington, à celles de 1973-74, lors du Watergate. Nous parlons ici de ce qui nous intéresse le plus : les réactions psychologiques d’attitude qui traduisent le fond de l’appréciation par les élites de l’establishment européen du système washingtonien, plus que les >réactions de jugement< sur le scandale lui-même (qui est coupable? Va-t-on s'arrêter à Libby? Etc.). D’abord, ce constat que notre interrogation n’est pas gratuite, qu’elle se réfère à une réalité dont nous nous demandons si elle est répercutée en Europe, dans les médias habituels… Plamegate versus Watergate

Le Watergate éthylique de GW

Le président GW Bush s’est-il remis à boire? Son attitude retrouverait assez classiquement celle d’un président engagé dans une crise personnelle répondant à la crise nationale qui le submerge. (Durant les jours du calvaire de Watergate, en 1973-74, où il était assiégé et cadenassé à la Maison-Blanche, Nixon avait pareillement sombré dans l’alcoolisme de diversion, jusqu’à une quasi-indisponibilité épisodique dans ses fonctions. La crise nucléaire du 25 octobre 1973 fut en bonne partie due à cette circonstance, Nixon étant indisponible pour répondre à un ultimatum des Soviétiques.) Le National Inquirer du 21 septembre publie un article de Jennifer Luce et Don Gentile. L’article cite notamment… Le Watergate éthylique de GW

“Star Wars” avait pressenti GW

Le dernier épisode de Star Wars a fait grand bruit au Festival de Cannes. Habituel coup médiatique, certes, mais beaucoup de choses derrière. Nous vous recommandons la lecture d’un article sur Antiwar.com de ce jour, Star Wars and the American Empire de Scott Horton. Il donne une bonne appréciation du contenu politique fondamental de l’uvre de Lucas. Le plus intéressant est que ce dernier épisode sorti à Cannes (en fait, le troisième épisode de la série, sorti après tous les autres, Lucas ayant fait les épisodes IV, V et VI avant les I, II et III) constitue une allégorie de l’évolution de l’Empire (le vrai)… “Star Wars” avait pressenti GW

La “French touch

La French touch 22 février 2005 Le 31 janvier 2005, le porte-parole du département d’État, Richard Boucher, répondait à des questions sur le voyage de Rice en Europe, notamment sa visite à Paris et le discours qu’elle projetait de donner le 8 février, à Paris effectivement. Pourquoi Paris? demandaient les journalistes. (« Yards can be written about the choice of Paris, a major speech considering the stated U.S.-European relations… would you like to get into those yards and say why she singled out the country with… in Europe with which the United States has had the most difficulty over the last few years? ») Finalement,… La “French touch

Vision d’historien et d’honnête homme de l’avenir irakien du “président Kerry”

Vision d’historien et d’honnête homme de l’avenir irakien du président Kerry 15 août 2004 William Pfaff signe dans The Observer de ce jour un texte brillant, une analyse d’historien, sur l’avenir d’une présidence Kerry, en cas d’élection du candidat démocrate. Pour Pfaff, certes, cette présidence sera toute entière dominée par la crise irakienne et Kerry, selon ce qu’il annonce à ses électeurs, connaîtra le sort ignominieux de Johnson (retrait volontaire en mars 1968 d’un deuxième mandat) et de Nixon (démission en août 1974) par rapport à leur fardeau commun, qui fut la guerre du Viet-nâm. Pfaff ne parle certes pas ici du sort personnel des… Vision d’historien et d’honnête homme de l’avenir irakien du “président Kerry”

Comme le Nixon des derniers jours…

Comme le Nixon des derniers jours… 5 juin 2004 — Il semble qu’un article publié par le site Capitol Hill Blues soit considéré avec la plus grande attention à Washington, notamment dans les milieux dissidents. Le site CounterPunch publie une appréciation de son rédacteur en chef Alexander Cockburn, qui donne le plus grand crédit à l’information de Capitol Hill Blues. Il s’agit d’une description du comportement du président GW, montrant une attitude complètement irrationnelle, marquée par l’obsession, la paranoïa, etc, et, évidemment dans le cas de GW, avec la présence et le soutien complet de Dieu. (Un de nos lecteurs nous signale de son côté… Comme le Nixon des derniers jours…

Les petits secrets de 1973 qui nous en disent long

Les petits secrets de 1973 qui nous en disent long 6 janvier 2004 A Londres, à Downing Street et à Whitehall, on déclassifie les documents confidentiels au bout de 30 ans. Ainsi en avons-nous appris beaucoup, sans réelle surprise, sur l’état des special relationships entre les Britanniques (Edward Heath) et les Américains (Nixon et ses ministres Kissinger et Schlesinger), il y a 30 ans, lors de la crise d’octobre 1973 (guerre israélo-égyptienne dite guerre d’Octobre [à partir du 4 octobre 1973] et alerte nucléaire globale des USA le 25 octobre 1973) puis à l’occasion de la crise de l’embargo pétrolier des pays arabes producteurs de… Les petits secrets de 1973 qui nous en disent long