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La nervosité britannique devant la déroute US : le “mouvement brownien” accéléré par le retour à la réalité

Dans l’article du Sunday Times que nous décrivons comme si pessimiste et si catastrophique dans la recension qu’il fait de la déroute de l’esprit à Washington, un passage est consacré à l’attitude britannique, à ce qu’on perçoit de plus en plus comme un tournant de la politique britannique. Le passage donne une version avec des précisions, des détails, la description d’intentions, etc. A lire pour notre information, certes. Mais on ne peut s’empêcher également d’un très fort sentiment. La dégradation de la situation à Washington agit directement sur la situation à Londres, l’esprit de Washington sur l’esprit de Londres. Ce que nous nommons le mouvement… La nervosité britannique devant la déroute US : le “mouvement brownien” accéléré par le retour à la réalité

Une vision ambiguë et contradictoire du modernisme américain — “New York”, de Paul Morand

Une vision ambiguë et contradictoire du modernisme américain New York, de Paul Morand • L’extrait Les pages 259 à 281 d’un récit de voyage publié chez Flammarion en 1930, après avoir été rédigé au printemps 1929 à Villefranche-sur-Mer : New York, de Paul Morand. • L’auteur, Paul Morand, est un écrivain français de la grande tradition des écrivains cosmopolites, grands voyageurs, dont la période de gloire se situe dans l’entre-deux-guerres. Morand voyagea beaucoup, écrivit beaucoup de récits de voyage. L’un de ses romans les plus célèbres (L’homme pressé) témoigne de ce dandysme cosmopolite, selon le terme qu’on emploie pour le qualifier. Morand fut redécouvert dans… Une vision ambiguë et contradictoire du modernisme américain — “New York”, de Paul Morand