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négociation

Les surprises du 24 février…

Les surprises du 24 février… • Habile et entreprenant, Macron annonce qu’il faudra préparer un accord de sécurité pour l’après-guerre en Europe, qui tienne compte des intérêts de la Russie. • Quelle bonne idée ! Quelle grande diplomatie ! • Passons aux choses sérieuses et voyons ce que le colonel Macgregor distingue comme >les deux erreurs de Poutineobjectives< d'arrangement dans le cas de l'aboutissement de la guerre en Ukraine alors qu'un très grand nombre d'analyses de commentateurs, certains sérieux d'autres beaucoup moins, s'accordent à penser que ce conflit est à un point de bascule à l'orée de l'hiver. Nous disons > possibilités objectives< car subjectivement… Les surprises du 24 février…

Les surprises du 24 février…

Les surprises du 24 février… • Habile et entreprenant, Macron annonce qu’il faudra préparer un accord de sécurité pour l’après-guerre en Europe, qui tienne compte des intérêts de la Russie. • Quelle bonne idée ! Quelle grande diplomatie ! • Passons aux choses sérieuses et voyons ce que le colonel Macgregor distingue comme >les deux erreurs de Poutineobjectives< d'arrangement dans le cas de l'aboutissement de la guerre en Ukraine alors qu'un très grand nombre d'analyses de commentateurs, certains sérieux d'autres beaucoup moins, s'accordent à penser que ce conflit est à un point de bascule à l'orée de l'hiver. Nous disons > possibilités objectives< car subjectivement… Les surprises du 24 février…

200 000 tonnes de stupidité

200 000 tonnes de stupidité Avec Trump et les Trump’s boys, y compris les ambassadeurs et les porte-avions de l’US Navy, inutile de chercher un titre : il suffit de les citer texto. Ainsi en est-il de Jon Huntsman, ambassadeur des États-Unis à Moscou. Il est vrai que Huntsman se trouvait à bord du USS Abraham Lincoln qui, s’il n’atteint pas les 100 000 tonnes, s’en approche remarquablement avec les 90 000 tonnes (88 000 tonnes exactement) de la classe Nimitz dont il est issu : pour 10 000 tonnes, on ne chipotera pas l’ambassadeur US auprès de la Russie. Pour cette raison de la… 200 000 tonnes de stupidité

Kerry-en-Syrie : tout ça pour ça…

Kerry-en-Syrie : tout ça pour ça… 16 mars 2015 Dans les chancelleries, comme l’on dit, cela fait tintamarre. Dimanche, lors d’une interview, le secrétaire d’État John Kerry a dit qu’une négociation avec le président syrien Assad serait une bonne chose, une voie qu’il faut suivre. En langage officiel mesuré au millimètre pour renvoyer à la bonne narrative, et malgré l’argumentation si évidemment spécieuse qu’il n’importe pas une seconde d’en débattre selon laquelle les USA (et le bloc BAO, France en tête) ont toujours cherché à négocier, il s’agit d’une cuisante et épique reconnaissance de la totale impuissance de la pseudo-politique US/BAO en Syrie et dans… Kerry-en-Syrie : tout ça pour ça…

Attaquer l’Iran? L’amiral Mullen “very, very destabilized….

L’amiral Mullen, président du Joint Chiefs of Staff, se dépense beaucoup en ce moment. Il le fait, on l’a vu ce 8 janvier 2010, à propos du Yémen, et, comme nous le disions dans le titre prudentissime Cette fois, il renouvelle, mais avec l’Iran. Antiwar.com présente une synthèse de cette intervention, ce 8 janvier 2010. L’intervention de Mullen, qui s’est faite devant l’Institute for Near East Policy, est également rapportée par Reuters, le 7 janvier 2010. Les passages essentiels: «Admiral Mike Mullen [] said the U.S. military was prepared for any eventuality in Iran, despite being stretched by wars in Iraq and Afghanistan. He pointed… Attaquer l’Iran? L’amiral Mullen “very, very destabilized….

GW à l’Iran : si on causait?

L’interprétation générale de la décision US d’envoyer un important fonctionnaire du département d’Etat à Téhéran, William J. Burns, sous-secrétaire d’Etat pour les affaires politiques, et d’établir une liaison diplomatique limitée, est qu’il s’agit d’une concession d’importance des USA. Le commentaire va jusqu’à voir dans cette décision une volonté d’éviter un conflit, ce qui peut être considéré comme une interprétation paradoxale si l’on considère que Washington a été le seul acteur, avec Israël, à manier la menace, et contre Téhéran bien sûr. D’un autre côté, cet agencement tend aussi à conforter l’interprétation d’une concession. The Independent de Londres, du 17 juillet, présente cette interprétation sans s’encombrer… GW à l’Iran : si on causait?