Aller au contenu

navy

Les militaires britanniques pas chauds du tout pour l’Iran

L’extraordinaire équipée britannique se poursuit, avec un Premier ministre qui continue à ferrailler avec son sabre de bois qu’il tient prêt à dégainer une nouvelle fois (contre l’Iran, indeed), et les militaires britanniques qui freinent des quatre fers devant une nouvelle folie. C’est une intervention une fois de plus inhabituelle au royaume de la Grande Muette traditionnellement très muette et qui ne l’ait plus guère, celle de l’amiral Sir Alan West, commandant la Royal Navy. Selon The Independent de ce matin : « Meanwhile, another senior military figure, Admiral Sir Alan West, the head of the Royal Navy, warned that any military action against Iran… Les militaires britanniques pas chauds du tout pour l’Iran

Effondrement (paralysie) de la puissance militaire US

Effondrement (paralysie) de la puissance militaire US 7 octobre 2005 — Un conseil à nos amis commentateurs : laissez aller les dithyrambes faciles et les fascinations faussaires ; venez-en aux faits lorsqu’il s’agit d’amorcer un jugement d’une situation dont un aspect important dépend d’une mesure de la matière disponible. Lorsqu’il s’agit de mesurer la puissance militaire d’un pays comme les Etats-Unis, alors que cette puissance militaire si énorme, si considérable de puissance, est partout mise en échec, — venez-en aux faits si vous voulez commencer à comprendre. (Il y a aussi de formidables aspects méthodologiques et psychologiques qui expliquent la crise de la puissance militaire… Effondrement (paralysie) de la puissance militaire US

“C’est comme un lien qui me retient”

C’est comme un lien qui me retient 23 janvier 2004 Un article paru dans The Guardian du 21 janvier s’attache au sort de la Royal Navy britannique selon une approche radicale, qui pourrait être résumée par la question : avons-nous encore besoin de la Royal Navy ? Le prétexte de cette réflexion est la décision du gouvernement de désactiver quatre destroyers, réduisant le nombre de navires de surface de 36 à 32. C’est l’occasion pour un conservateur, Nicholas Soames, qui a la lourde charge d’être le petit-fils de Churchill et de veiller à la survivance des postures héroïques conformes à l’image grand’paternelle, de s’exclamer avec… “C’est comme un lien qui me retient”

En l’honneur de dad

En l’honneur de dad 10 décembre 2002 Hier, l’U.S. Navy a procédé à la cérémonie d’annonce de baptême du porte-avions d’attaque nucléaire CVN-77, qui rejoindra la flotte en 2009. Le porte-avions portera le nom du 41e président des États-Unis et sera connu comme le USS George H.W. Bush. Le communiqué du département de la défense, publié au matin du 9 décembre, dit notamment ceci : « Secretary of the Navy Gordon R. England will name the Navy’s tenth Nimitz class aircraft carrier in honor of World War II Naval Aviator and former President of the United States George Herbert Walker Bush during a ceremony today… En l’honneur de dad

Afghanistan : nos contre-leçonsAnalyse, de defensa Volume 17, n°11, du 25 février 2002

Afghanistan : nos contre-leçons La guerre d’Afghanistan ou ce qui en tient lieu est finie et ne l’est pas vraiment (pour les Français Alain Bauer et Xavier Raufer, « la guerre ne fait que commencer », titre de leur livre paru le 23 janvier 2002 ; on ne leur donne pas tort). Le point de vue général est que, durant cette guerre, une nouvelle façons de faire la guerre est arrivée à maturité (« comes of age », disent les Américains). Des choses nombreuses sont énumérées, qui marquent les grandes leçons de cette nouvelle guerre moderne. Le catéchisme en est l’impressionnante puissance américaine, — pas… Afghanistan : nos contre-leçonsAnalyse, de defensa Volume 17, n°11, du 25 février 2002