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Journal de bord de dedefensa.org — 070806, message en attendant Rupert

6 août 2007 Le 2 août 2007, Jerry White, du site WSWS.org, nous expliquait les détails de la prise de contrôle du Wall Street Journal par le multi-milliardaire et l’un des maîtres internationaux des médias, l’australo-américaniste Rupert Murdoch. Sacré Rupert, sorte de héros de notre temps bien à l’image du héros postmoderne ; ce style-là se mesure à la qualité de l’ambition, son héroïsme au poids de ses investissements, son esprit aventurier au nombre, au poids et à la diversité de ses comptes de banques. Belle aventure de notre temps où la nature humaine trouve son accomplissement dans la comptabilité, où le courage et la… Journal de bord de dedefensa.org — 070806, message en attendant Rupert

Tony Blair décidant du sort du monde, avec Murdoch au bout du fil

En apprendre de nouvelles sur les liens entre Tony Blair et Rupert Murdoch n’a rien pour nous surprendre. On savait que TB était l’homme de Murdoch, et Murdoch le 24ème membre du cabinet de TB. Mais les détails sur cette relation si intime sont toujours intéressants; les circonstances où ils sont dévoilés également. L’article de The Independent sur le sujet nous apporte des détails notamment sur les trois coups de téléphone entre TB et Murdoch à la veille de la guerre contre l’Irak. «In 2003, Mr Blair phoned the owner of The Times and The Sun on 11 and 13 March, and on 19 March,… Tony Blair décidant du sort du monde, avec Murdoch au bout du fil

La critique de la “juste cause” montre le bout de son nez

La critique de la juste cause montre le bout de son nez 1er novembre 2006 Jusqu’ici, nous avons vu les aspects spectaculaires et mobilisateurs du rapport Stern sur la crise climatique. Un texte du Times aujourd’hui, assez discret comme il faut l’être devant une cause bruyamment célébrée, effleure courtement mais précisément l’argument inverse. Il mérite qu’on s’y attarde pour bien comprendre la puissance des forces retardatrices du système, leur arsenal politique, leur signification ; pour bien comprendre les conditions et les fondements de la bataille à venir, qui sera féroce. On passe ci-après en revue les différents arguments soulevés. La cause sera-t-elle populaire auprès des… La critique de la “juste cause” montre le bout de son nez

Blair, ou la tonitruance du conformisme

Blair, ou la tonitruance du conformisme 31 juillet 2006 En pleine déroute politique, alors que le Moyen-Orient est plongé dans sa crise la plus sévère, que la force aérienne de Tsahal pilonne les villages libanais (Cana), Blair n’a pas manqué son rendez-vous. Chez Murdoch, une grande fête pour milliardaires et hommes politiques d’avenir (et femmes politiques : Hillary était bien entendu là) ; tout cela en Californie, dans la région de Big Sur qui abrita des gloires moins fréquentables puisque Henry Miller y résida et que Jack Kerouac s’y balada. Aujourd’hui, la gloire de notre temps, c’est Murdoch-Blair, hier c’était Miller-Kerouac ; ainsi va l’Amérique… Blair, ou la tonitruance du conformisme

Portrait de Tony Blair

Sur le chemin d’une importante mission, Blair s’arrêtera à Washington pour tenter de convaincre GW qu’un cessez-le-feu au Liban serait une chose bienvenue. Mais le but principal de son voyage reste le discours qu’il doit prononcer en Californie à une conférence organisée par son ami et mentor Rupert Murdoch. Cela vaut au Premier ministre britannique ce commentaire (dans The Independent) : « Sir Stephen Wall, one of the Prime Minister’s most trusted former advisers, said [] There are times, such as the past two weeks, when a British prime minister should have been thinking less about private influence and more about public advocacy. » Dans… Portrait de Tony Blair

Murdoch est effectivement chez lui au 10 Downing Street

Deux jours après la publication de cet article d’interview de Rupert Murdoch auquel nous avons fait un large écho, une réaction dans le même journal nous confirme indirectement l’importance de cette intervention, et directement le poids considérable que pèse Murdoch sur la politique anglaise. Cette réaction vient d’un orfèvre en la matière, Lance Price, qui fit partie (avec Alastair Campbell) de l’équipe de communications de Tony Blair de 1998 à 2001. Depuis son départ, Price a écrit un livre (The Spin Doctor’s Diary) qui lui a valu une certaine inimitié de l’équipe Blair. Voici un extrait de l’article de Price, dans The Guardian d’aujourd’hui :… Murdoch est effectivement chez lui au 10 Downing Street

Murdoch fait ses emplettes

Murdoch fait ses emplettes 29 juin 2006 Cette interview de Rupert Murdoch, une des grandes puissances médiatiques du monde anglo-saxon et propriétaire notamment du Sun et du Times, doit retenir notre attention. Elle a été donnée à un quotidien australien et reprise par citations dans The Guardian d’aujourd’hui. Elle est extrêmement significative dans son contenu et elle est stupéfiante dans la forme (dans le ton) ; et elle est d’autant plus significative qu’elle est stupéfiante dans le ton. (On s’attache ici au seul texte du Guardian, parce qu’il s’agit d’un quotidien britannique et d’un quotidien britannique proche des travaillistes. Autre raison qui renforce le jugement… Murdoch fait ses emplettes

Qu’allons-nous faire de Tony ?

Ce matin, le quotidien Guardian s’inquiète, dans un long article, de l’avenir de Tony Blair, futur ex-Premier ministre à un âge encore relativement jeune. (Tony a 53 ans.) On passe donc en revue les diverses possibilités. Le poste de Secrétaire Général de l’ONU, dont on a beaucoup parlé ces derniers temps, est un canard auquel il ne reste plus guère de plumes. La deuxième possibilité est que Blair trouve à s’employer chez Rupert Murdoch. Ira, ira pas ? L’article donne dans l’incertitude, et finit sur une note d’insistance malgré certains démentis officieux. (Ces démentis, venus de l’entourage de Blair, peuvent d’ailleurs avoir pour but de… Qu’allons-nous faire de Tony ?

La BBC met les choses au point

Après les divers articles parus dans la presse britannique sur la confidence de Tony Blair à Rupert Murdoch, selon laquelle la couverture de Katrina par la BBC avait été « full of hatred of America and gloating at the country’s plight », la BBC est intervenue publiquement pour démentir que son action ait été dans ce sens. La précision intéressante est que la BBC a révélé qu’aucune remarque du 10 Downing Street ne lui avait été communiquée dans ce sens, ce qui est la procédure normale pour cette sorte de situation et une appréciation critique du Premier ministre. Cela semblerait confirmer que Blair réserve effectivement… La BBC met les choses au point