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Tension en Mer Noire

La situation dans la Mer Noire est un point particulier de la tension entre la Russie et l’Ouest, disons le point opérationnel central de cette tension. Un article du Times de ce jour met particulièrement l’accent sur ce point, à la lumière d’une indication également alarmiste venue cette fois de Poutine et non de Medvedev («Dmitri Peskov, a spokesman for Vladimir Putin, the Prime Minister, declared that Russia was taking measures of precaution against American and Nato naval ships. Let’s hope we do not see any direct confrontation in that, he said. Any attempt by countries in the West to isolate Russia would definitely harm… Tension en Mer Noire

Mullen aux Israéliens : pas de nouveau Liberty

On a des précisions tardives mais intéressantes sur la visite de l’amiral Mullen, président du comité des chefs d’état-major US (JCS), en Israël à la fin juin (plutôt que début juillet, comme l’affirme le texte utilisé ici en référence). Mullen est bien allé dire aux Israéliens qu’il était préférable pour eux (les Israéliens) de ne pas envisager une attaque contre l’Iran. Mais il a été plus précis encore, et implicitement plus menaçant, selon TV.Press du 3 août et Information Clearing House du 4 août (les deux sites reprennent une information du Jerusalem Post). Mullen aurait fermement averti les Israéliens contre la tentation d’un nouvel incident… Mullen aux Israéliens : pas de nouveau Liberty

Et le Pentagone soudain inquiet…

Comment faut-il prendre l’intervention de l’amiral Mullen, président du comité des chefs d’état-major (JCS), le 20 juillet à Fox.News? Il y a deux interprétations possibles. Le site WSWS.org considère (aujourd’hui) cette intervention comme un rappel à l’ordre du Pentagone au candidat Obama, contre sa politique de retrait d’Irak, désormais appuyé par le désormais très influent Premier ministre irakien Maliki. Pressé de s’exprimer sur la question d’un retrait d’Irak en seize mois décidé comme une politique conceptuelle, hors des considérations chronologiques de situation sur le terrain durant ce retrait, et cela en laissant formellement de côté le fait que ce soit justement le programme du candidat… Et le Pentagone soudain inquiet…

Mullen en super-Fallon : pas d’attaque contre l’Iran, c’est compris?!

Cette fois, l’amiral Mullen, président du Joint Chiefs of Staff (JCS) et plus haute autorité des forces armées US, ne prend plus de gants. Lors d’une conférence de presse hier au Pentagone, Mullen a clairement pris position, une position qui, si elle porte sur l’hypothèse d’une opération militaire, n’en est pas moins hautement politique. Alors que GW Bush réaffirme que toutes les options sont sur la table, donc y compris une attaque contre l’Iran, Mullen a de ces phrases où il emploie la première personne du singulier, comme s’il était le patron de quelque chose presque à hauteur du président, et dans un sens qui… Mullen en super-Fallon : pas d’attaque contre l’Iran, c’est compris?!

Hersh et l'attaque contre l’Iran

Hersh et l'attaque contre l’Iran Le reporteur-vedette du New Yorker, Seymour Hersh, consacre un long article à l’activisme de l’administration GW Bush en Iran, dans le numéro du magazine daté du 7 juillet. Cet article doit naturellement être placé en corrélation avec les diverses rumeurs sur la possibilité d’une attaque contre l’Iran, qui ont trouvé une nouvelle jeunesse depuis quelques jours. La situation que décrit Hersh est principalement une intensification des opérations de forces spéciales US en Iran, avec l’espoir que ces opérations déclencheraient éventuellement une riposte iranienne, laquelle donnerait à l’administration GW Bush un prétexte pour une attaque contre l’Iran. Israël serait fidèlement et… Hersh et l'attaque contre l’Iran

L’amiral à nouveau sur le pont

L’amiral à nouveau sur le pont 27 mai 2008 L’amiral Mullen, président du comité des chefs d’état-major (Joint Chief of Staff, ou JCS) des forces US, se manifeste à nouveau sur la scène politique. Même si c’est pour avertir les militaires de se tenir hors de l’arène politique, il s’agit bien d’un acte politique. Comme l’on sait, ce n’est pas le premier du genre, le premier ayant été accueilli par une remarquable discrétion, qui confine à l’aveuglement courant dans notre système conformiste, où ne peuvent être vues et commentées que les seules nouvelles qui nous rassurent sur l’état des choses et le fonctionnement adéquat d’un… L’amiral à nouveau sur le pont

Les USA, notre aveuglement-fasciné

Les USA, notre aveuglement-fasciné 5 mai 2008 — Le plus remarquable dans notre univers modernisé, moralisé et constamment entraîné à la satisfaction de lui-même, essentiellement à l’Ouest, c’est sans aucun doute l’aveuglement. C’est aussi le signe classique des grandes décadences et des décadences accélérées. Nous sommes vraiment dans une très grande décadence et nous nous y précipitons à une très grande allure. Le silence religieux qui accompagne l’évolution de la situation devra être décrit, pour ceux qui ont l’oreille fine, comme aussi assourdissant que les préparatifs de l’apocalypse. Dans les réunions internes de la plupart des grands corps politiques comme dans les colonnes des journaux… Les USA, notre aveuglement-fasciné

Menaces de défense…

Menaces de défense 1er mai 2008 Depuis quelques semaines, une avalanche de menaces d’attaques (US) contre l’Iran peut être observée, suivie et entendue. Une avalanche, ou un choeur, ou un déferlement, ou un torrent d’accusations et de menaces, que nous rapporte notamment, ce 1er mai, le site WSWS.org. Citons ce paragraphe, entre beaucoup d’autres détaillant ce phénomène: «There has been a growing chorus of US accusations and threats against Iran over everything from meddling in Iraq and its supposed nuclear weapons program to Tehran’s ties with groups such as the Lebanese Shiite organisation Hezbollah and the Palestinian group Hamas, which are branded by Washington as… Menaces de défense…

Contrastes, USA…

Il est difficile de trouver coïncidence (?) plus appropriée, qu’entre le discours d’un Cheney quasiment hallucinée, dimanche, et l’interview du président du comité des chefs d’état-major (Joint Chief of Staff), l’amiral Mullen qui vient de prendre ses fonctions. Cheney, qu’on pourrait décrire avec des éclairs dans les yeux, semble effectivement sur le bord de l’apoplexie à l’idée de pouvoir attaquer l’Iran. Mullen, lui, freine comme font tous les gens au Pentagone, du secrétaire à la défense Gates aux divers amiraux et généraux. Jim Lobe rapporte et décrit, aujourd’hui, l’intervention de Cheney, qui représente un sommet de l’offensive rhétorique de l’administration (It’s rhetoric, stupid, selon GW).… Contrastes, USA…

Washington et l'hypothèse du “putsch”

Washington et l'hypothèse du >putschl’atmosphèreThis is a little bit of hyperbole, but not much.< qui nous impressionne (l'évocation d'un refus d'obéissance de pilotes à l'ordre d'attaquer l'Iran, >c’est un peu une image mais à peineImpossible< ou >impensable