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L’agenda de la guerre

La crise iranienne se poursuit dans son état paradoxal de tension figée que nous signalions le 20 janvier 2012. Il s’agit de cet état qui implique deux termes absolument antinomiques puisque la tension est par définition une dynamique extrême et brûlante tandis que le qualificatif figé indique exactement le contraire du mouvement et de la volatilité du feu. La dialectique de la guerre possible/probable/certaine (au choix) est dans la même situation, fort logiquement de ce point de vue, avec des déclarations, des rumeurs, des hypothèses allant dans tous les sens, d’une façon chaotique et insensée (c’est-à-dire, sans aucun sens identifié). La différence de cette crise… L’agenda de la guerre