Le poodle qui ne voulait pas qu’on le croit trop poodle
Manifestement, Blair prépare ses valises. Sa seule priorité est, à l’image de sa carrière (voir le texte de Jenkins sur le blairisme), de ne pas laisser une mauvaise image. Question d’image, vous comprenez. L’ambassadeur du Royaume-Uni à Washington, Sir David Manning, qui fut le principal conseiller de Blair lors du lancement de la guerre contre l’Irak, est un pilier à toute épreuve des special relationships. Fidèle de Blair, il a pour mission de polir l’image du PM. Il s’y emploie. Il donne une longue interview au Times de Londres ce jour, où il détaille les avantages des susdites special relationships, et surtout l’influence secrète mais… Le poodle qui ne voulait pas qu’on le croit trop poodle