L’USAF inquiète pour ses relations publiques
L’offensive lancée par les Israéliens contre le Hezbollah prévoyait au départ la seule utilisation de la force aérienne, selon les conceptions du général Halutz et de l’USAF à Washington. L’affaire devait être bouclée en quatre-cinq jours. Tout n’a pas fonctionné selon les plans prévus, comme l’on sait. Les critiques ont commencé à fleurir. L’USAF est inquiète de ces réactions, qui risquent d’avoir des effets au Congrès, par rapport à certains de ses programmes. L’un des articles les plus efficaces, classique, sobre et précis, dans sa critique de l’utilisation de la force aérienne a été celui de Philip Gordon, dans le Washington Post du 25 juillet… L’USAF inquiète pour ses relations publiques