Aller au contenu

Lehman

9/11-complot : le roi est quasi-nu

9/11-complot : le roi est quasi-nu … Pour justifier le titre, après tout, l’on pourrait écrire >le roi [d’Arabie] est quasi-numauvaisOui ! Un auditeur moyen de 60 Minutes les reconnaîtrait instantanément… [Former Senator] Graham’s reference to the >highest levels< of the Saudi government is reminiscent of a statement former Navy secretary and 9/11 Commission member John Lehman made to 60 Minutes on Sunday. Asked if the 28 classified pages names names, he replied, ‘Yes. The average intelligent watcher of 60 Minutes would recognize them instantly.’They were refusing to declassify anything having to do with Saudi Arabia,< Lehman said. >Anything having to do with the Saudis,… 9/11-complot : le roi est quasi-nu

Notes sur “mon royaume pour 28-pages”

Notes sur >mon royaume pour 28-pagescrises< et de commence à en supputer les conséquences. Le Ciel va très vite, à son rythme, et il faut pouvoir suivre... Celle (la crise) des >28-pages28-pages< devient une crise. De l’aveu même de ZeroHedge.com, la chose a effectivement éclaté comme un >coup de tonnerre dans un ciel bleu< (>out of the bluevenue de nulle part< (quoique...) ; mais, dans ce cas ZeroHedge.com rend bien compte du sentiment général, ne cherchant pas une seconde à dissimuler la surprise qui frappe et la dimension soudain considérable du fait avec la mise en cause de l’Arabie dans 9/11 et la mise en… Notes sur “mon royaume pour 28-pages”

Le JSF sera-t-il “séquestré” (et guillotiné)&nbsp;? Et le “progrès” avec&nbsp;?

Le JSF sera-t-il séquestré (et guillotiné) ? Et le progrès avec ? Comme l’on sait, la question de la séquestration laissant planer son ombre sur le budget US concerne d’abord la défense, avec au moins un tiers des réductions automatiques envisagées portant sur le budget du Pentagone. D’autre part, la situation de désordre et de labyrinthe bureaucratiques qui prévaut à Washington implique que, même si la séquestration était évitée par un accord de dernière minute, accord qui porterait nécessairement sur des réductions budgétaires mais ordonnées et identifiées, la situation du Pentagone ne serait pas vraiment meilleure. Des choix douloureux seraient nécessaires, c’est-à-dire, en fonction de… Le JSF sera-t-il “séquestré” (et guillotiné)&nbsp;? Et le “progrès” avec&nbsp;?

La garde SA (ou SS) de Mitt Romney

La garde SA (ou SS) de Mitt Romney L’excelllent et bien informé commentateur US Wayne Madsen décrit pour nous l’entourage de Romney, son apparatus de politique étrangère, cela, pour le cas où il serait élu, puisqu’on en parle. Aimablement, Wadsen compare ce groupe au Sturmabteilung du NSDAP de Hitler (qu’il n’identifie pas à la SA que ce terme désigne effectivement, mais à la SS, qui désignait l’organisation dite Shutzstaffel). Il s’agit bien entendu d’une image symbolique plus que d’une analogie historique précise Nous savons que la vertu de notre époque post-postmoderniste est en carton trempé et en acier mâché. Cela écrit sans conséquence, il faut… La garde SA (ou SS) de Mitt Romney

Le corporate power, ou le totalitarisme entropique

L’Institut de Technologie de Zurich a effectué une étude détaillée sur le corporate power (la chose n’est pas désignée par cette expression), ses structures, sa puissance, sa répartition. Cette étude aurait aussi bien pu s’intituler >global governance de factototalitarisme du désordre< ou, mieux encore, et encore plus loin, ou plus près du but si l'on veut, – le >totalitarisme entropiquesuper-entité< contrôlant 40% des revenus globaux, tout cela pouvant encore être >réduits< à une >super-super-entité< de 50 groupes. (Euredit SPRL, éditeur de dedefensa.org est compté, nous semble-t-il, hors catégorie.) «Drawing from a 2007 Orbis database, which lists 37 million companies and investors spanning the globe, the… Le corporate power, ou le totalitarisme entropique

Consigne sémantique : “the Lehman Moment

Consigne sémantique : the Lehman Moment L’expression est devenue le mot de passe des connaisseurs, des commentateurs et de ceux qui savent, the Lehman Moment, en référence à l’écroulement de la banque Lehman Brothers du 15 septembre 2008, qui ouvrit officiellement la grande crise de l’automne 2008. Hier, on disait essentiellement the Lehman Moment pour la Grèce ; aujourd’hui, c’est pour l’Europe, comme dans le Daily Telegraph de ce 17 juin 2011. La formule a l’avantage du raccourci, du mouvement (d’effondrement), du catastrophique, et elle semble tout dire en trois mots. Pour autant, on se méfiera de cette sorte d’analogie héritée du langage du système… Consigne sémantique : “the Lehman Moment

Les “trois singes de la sagesse” devenue folle

Les >3 singes de la sagesse< devenue folle 15 septembre 2009 — «The off-exchange derivatives market is still the Wild West», explique Sheila C. Bair, présidente de la Federal Deposit Insurance Corporation., à propos de Wall Street, un an après. C’est dans un article d’un New York Times tout de même un peu surpris, ce 12 septembre 2009, sous le titre «A Year Later, Little Change on Wall St.». >Tout de même un peu surprisBravo, l’artistetrois singes de la sagesseNe rien voir de mal, ne rien entendre de mal, ne rien dire de maltrois singes< nous représentent l'attitude de Wall Street, de la direction du… Les “trois singes de la sagesse” devenue folle

Un lundi vert de gris

Un lundi vert de gris 15 septembre 2008 — Reculant devant l’analogie épouvantable du >Lundi noir< (>Black MondayEquilibreun signe d’équilibre< d'une certaine façon, – cela doit vous donner confiance dans son destin de noyé bien cravaté. Pourtant, nous nous demandons si la >confiance< est vraiment partie comme quelque chose se casse, avec le choc que cela suppose. Nous vivons une tragédie financière et pourtant rien ne se passe comme au cœur d'une tragédie. Le >lundi vert de grismardi noir< d'octobre 1929 et ce qui suit. Notre esprit est tellement cloisonné, la représentation des communications si puissante, qu'on ne parvient pas à réaliser l'ampleur de la… Un lundi vert de gris

La crise, crescendo et fortissimo

La crise financière US entre dans une nouvelle phase, crescendo et fortissimo, avec la situation de l’effondrement de la banque institutionnelle de Wall Street (fondée en 1850 par les trois frères) Lehman Brothers. Après l’échec des négociations pour une reprise, le climat ce matin annonçait une faillite qui est déjà, avant même d’exister, retentissante. L’élément nouveau de la crise à cette étape, après de multiples étapes précédentes, c’est le retrait du jeu du gouvernement US, refusant désormais de prendre à son compte le renflouement des divers effondrements de l’institution financière US. C’est ainsi que Jeremy Walters qualifie cette situation ce matin: >perdre patience

Retour sur la stealth technology  (I)

Retour sur la stealth technology (I) Comme on le voit par ailleurs, la >stealth technology< est toujours (à nouveau) mise en cause. C'est une occasion pour revenir sur le concept. (NDLR : sacrifiant à la gloire d’un concept, nous utilisons le terme US de stealth technology d’une façon courante, après un premier guillemet. L’énorme publicité faite autour du concept autorise cette dérogation à nos principes sacrés. En français, il s’agit de >la technologie furtiveStealth< est assez universellement connu comme un mythe aussi bien que comme une soi-disant réalité, et le mot >stealth< évoquant justement ce mythe, pour que nous soyons renforcés dans ce choix risqué.… Retour sur la stealth technology  (I)

Analysis, Context n°51 (May 2002) – Stealth by Any Means

Stealth by Any Means A recently-published book (cited in Context No. 50, Analysis ) relates in detail the fate of the General Dynamics/McDonnell Douglas A-12 (ex-ATA) program, abandoned in 1991 and subsequently the subject of a drawn-out legal battle between the builders and the US Navy. The book is The $5 Billion Misunderstanding, by James P. Stevenson (Naval Institute Press), a remarkable example of the type of investigative reporting that America prides itself on. After some general information on the ATA/A-12 program, we shall endeavor to examine the role of stealth technology in the program, from a critical if not contentious viewpoint, on the basis… Analysis, Context n°51 (May 2002) – Stealth by Any Means

Le B-2 ? Poubelle …

Le B-2 ? Poubelle … On n'a pas été sans remarquer l'extrême discrétion, dans tous les sens du mot, du bombardier B-2 durant la campagne contre l'Afghanistan. Quelques missions au début de la campagne, annoncées sobrement, puis plus rien. Cela contraste avec l'extrême publicité qui avait accompagné la moindre des missions du B-2 durant l'attaque contre le Kosovo, en mars-juin 1999. C'était déjà un élément inhabituel. [Un autre facteur ne cesse de se confirmer, qui est l'hostilité achevée de l'USAF pour une autre série de 20 exemplaires du B-2. Malgré la ferme intention de l'administration GW Bush dès son arrivée, confirmée après les opération en… Le B-2 ? Poubelle …