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La France et le Liban : une appréciation syrienne

Comme chacun sait, l’Orient est très compliqué et, dans la région du Moyen-Orient, le Liban présente un cas encore plus compliqué. Par conséquent et plutôt que de s’attacher à l’appréciation de la crise libanaise dans le vain espoir de bien la comprendre, il faut noter un fait nouveau qui est perçu par contraste d’une façon beaucoup plus claire. Il s’agit de l’implication française dans la crise libanaise depuis le début de la présidence Sarkozy. Sans préjuger des résultats que cette implication pourrait amener, il est surtout intéressant d’en apprécier les effets sur la perception qu’en ont les principaux acteurs. De ce point de vue, il… La France et le Liban : une appréciation syrienne

Petite scène en a-parte entre Blazy Kouchner et Bernard Douste

Jeudi, passation de pouvoir entre anciens et nouveaux ministres. Au Quai d’Orsay, l’ambiance est chaleureuse. On se retrouve entre French Doctors, bien curieuse génération de successeurs de Vergennes et de Talleyrand. Entre Douste et Kouchner, on se tutoie ostensiblement, on s’embrasse et on s’adore. Douste fait un rapide petit discours, chaleureux, presque emporté, avec à côté un Kouchner consensuel et souriant de toutes ses dents qu’il a en nombre impressionnant. Douste est au bout de sa petite gâterie. Il entend clore sur le ton léger et complice qui convient, si possible par une chute à mesure, qui doit tirer des rires détendus et joyeux. «Et… Petite scène en a-parte entre Blazy Kouchner et Bernard Douste

Quelques mots sur la Kouchner-story du petit Nicolas

D’abord, commençons par autre chose. Le premier mot que prononça Chirac en mai 1995, en pénétrant dans l’Elysée, après avoir salué Mitterrand, fut ceci, après s’être assis lourdement dans un fauteuil : «Putain, je ne sais pas comment je vais faire.» (Selon Henri Guaino, déjà présent à la fondation.) Cela ouvre des perspectives pour le premier mot de Sarkozy. Ce qui ne nous amène pas à notre propos mais y conduit tout de même. (Comprenne qui pourra.) La nomination de Bernard Kouchner aux affaires étrangères avait d’abord un peu surpris ; cette première surprise passée, il n’y a pas de quoi être surpris. Selon Nicolas… Quelques mots sur la Kouchner-story du petit Nicolas