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Notes sur l’intempérance du scorpion

Notes sur l’intempérance du scorpion • L’anecdote a subi l’épreuve du temps pour s’imposer comme l’allégorie de la tragédie grecque elle-même où les acteurs sont emportés par la force de leur destin, – l’allégorie de la grenouille acceptant de porter le scorpion sur son dos pour traverser la rivière bouillonnante et le scorpion piquant la grenouille pour un destin qui est celui de leur mort commune, – ‘Just Because‘. • Dans la crise actuelle, la grenouille est américaniste, le scorpion est israélien et le poison est la stratégie du second imposée à leur destin commun. • Il nous faut pourtant prendre garde, car il y… Notes sur l’intempérance du scorpion

De “Juste Cause” à “just because

De >Juste Cause< à >just becausejust because< (>parce que nous pouvons le faireJust Cause< (surnommée >just becauseJust Cause< que l'on préparait pour l'invasion du Panama sous le très-ironique label de >Just Because< (on le fait... >Juste parce qu’on peut le faireThe US has bombed Syria and Iraq again, apparently just because it can, giving little or no thought to the consequences.…It appears the US bombs simply because it canOn se demande parfoisJust Causejust because< n'était en aucun cas gratuit, même sans Noriega comme couverture de communication et crime organisé pour se justifier. On remontera alors à notre rubrique Bloc-Notes du 28 septembre 2007, où nous… De “Juste Cause” à “just because

Enfin, ils ont conquis “les cœurs et les esprits”

Entamant un texte sur l’Iran où il nous dit que les événements récents ont humanisé l’Iran et rendu impossible, par le choc psychologique, toute attaque de sang-froid de ce pays comme l’Occident envisage de la faire en général entre la poire et le fromage de ses diplomates, Jonathan Freedland ne peut s’empêcher de commencer son texte en parlant de l’Irak où eut lieu effectivement cette attaque de sang-froid. Il faut dire que la circonstance y invite, puisque nous assistons au commencement de quelque chose qu’on pourrait nommer, pour faire bref et sans illusions, la libération de l’Irak du joug américaniste. Freedland publie son texte ce… Enfin, ils ont conquis “les cœurs et les esprits”

Le coup d’État-soft du Pentagone

Le coup d’État-soft du Pentagone Nous extrayons de la dernière mise en ligne de ce jour dans notre rubrique Ouverture Libre (une >table ronde< sur le thème «American coup d'Etat: Military thinkers discuss the unthinkable») un passage qui éclaire d’une façon très intéressante un moment essentiel de l’histoire du complexe militaro-industriel. Il s’agit de ce moment où, alors que le communisme s’effondrait, les militaires US bloquèrent un éventuel processus de démobilisation, ou plutôt de déstructuration de la puissante structure militaires mise en place pendant la Guerre froide… KOHN : « Considérez cet exemple flagrant de manipulation politique par l'armée : après toutes les autres guerres… Le coup d’État-soft du Pentagone