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Les trois coups sont frappés

Les trois coups sont frappés 3 février 2007 Au théâtre, on frappe trois coups pour annoncer l’ouverture de la pièce. Selon notre symbolique, le rapport IPCC/GIEC (Intergovernmental Panel on Climate Change/Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) qui couronne la conférence sur la crise climatique de Paris pourrait résonner comme le troisième coup, après le rapport Stern et le tournant de Davos. Bien sûr, cette pièce-là est plutôt une tragédie, celle de la crise climatique ; et notre classification est symbolique, pour l’avantage de l’image. (Cette symbolique effectivement pratique pour l’image de la chose pourrait être contestée. On pourrait y ajouter un quatrième coup frappé, celui… Les trois coups sont frappés

Un rapport de plus sur la gravité de la crise climatique, “la mère de toutes les crises”, la plus grave possible…

Chaque jour amène désormais ses nouvelles alarmantes sur la crise climatique. En quelques mois, la crise climatique s’est imposée comme un facteur fondamental des relations internationales, des préoccupations des dirigeants, un facteur fondamental de l’esprit de crise qui parcourt notre temps, et, bien sûr, une crise qui est sans le moindre doute la mère de toutes les crises Aujourd’hui, c’est The Observer qui publie un article sur un rapport dont il a obtenu une copie, le quatrième rapport de l’Intergovernemental Panel on Climate Change (IPCC), un des groupes officiels mis en place par la communauté internationale pour suivre l’évolution de la crise climatique. Il s’agit… Un rapport de plus sur la gravité de la crise climatique, “la mère de toutes les crises”, la plus grave possible…